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Critiques de Akimi Yoshida (133)
Classer par:   Titre   Date   Les plus appréciées


Kamakura Diary, tome 1

Alors qu’elle était avec un garçon, Yoshino apprend la mort de son père. Pourtant, elle ne l’avait pas vu depuis longtemps, car il est parti après le divorce et n’a plus donné de nouvelles. Avec sa plus jeune sœur, elle se rend dans la dernière demeure du défunt. Elle qui n’avait que deux sœurs, une troisième soeur vient rejoindre leur grande maison.



Cela faisait longtemps que je n’avais pas lu de manga. pour une reprise, c’était rapide et agréable. Et cette histoire est toute simple à lire, remplie de tranches de vie, de rires, de pleurs, de doutes. Les dessins de l’autrice sont doux et donne envie de lire la suite.
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Banana Fish - Perfect Edition, tome 1

Un manga que j'avais découvert il y a fort longtemps maintenant et que j'ai pu retrouver dans sa nouvelle version Perfect Edition qui nous offre un bien épais tome plein de suspenses et d'actions.



L'histoire nous plonge d'abord dans la guerre du Vietnam pour nous retrouver quelques années plus tard à New York dans une intrigue entre drogue et bandits. le livre sent bon les eighties avec l'ambiance qui va avec et certains clichés de l'époque pas toujours subtils mais pas gênants pour autant.



Je me suis surprise à voir qu'il n'a aucun chapitrage. Les bulles se lancent sans aucune pause. Je ne me souviens plus si c'était comme ça à la base. C'est un peu déconcertant mais on s'y habitue au vu de la fluidité d'écriture.



On découvre les personnages, des héros avec qui on s'y attache facilement, tout comme on souffre pour eux. Ce début de série ne nous épargne rien. Les péripéties s'enchaînent à puissance grand V sans nous laisser souffler. Je n'ai pas vu le temps passer, c'est addictif et on a envie de passer aux tomes suivants (que je n'ai pas encore hélas).



Bonne redécouverte. Je ne me souvenais plus de toute l'intrigue et j'ai apprécié de le relire pour me remémorer et retrouver une série de mangas que j'avais beaucoup apprécié à l'époque.
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Banana Fish - Perfect Edition, tome 1

Je vais être la première critique négative mais je tiens à dire ce que je pense sincèrement.

Les avis étaient tellement bons sur Babelio et sur le net que j’ai acheté ce manga malgré les dessins qui ne m’attiraient pas vraiment. Mais impossible pour moi d’accrocher à l’histoire que je n’ai tout simplement pas comprise. Et les dialogues ne m’apparaissaient pas convaincants.

Après avoir lu environ 1/3 du livre j’ai carrément arrêté le livre ce qui est très rare mais je n’ai pas du tout réussi à rentrer dans l’histoire.
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Banana Fish - Perfect Edition, tome 1

Quelle incroyable surprise que la découverte de ce manga. Je craignais l’effet un peu vieillot des dessins et du récit mais c’est exactement le contraire. L’histoire est forte et très actuelle (même si elle fait référence à la guerre du Vietnam) et surtout les dessins, la cadrage et la mise en page sont d’une incroyable puissance qui me rappelle que la majorité des mangas actuels sont de la soupe insipide. Je recommande très très fort !
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Kamakura Diary, tome 1

La première partie de ce manga est très introductive, beaucoup d'informations sur les personnages et leurs relations sont données ce qui rend sa lecture un peu rébarbative.

Mais c'est à partir de la deuxième partie que la lecture devient vraiment plus agréable. On découvre la personnalité de chacune au long de l'histoire, ce qui permet de créer un réel attachement envers ces sœurs. On suit cette famille recomposée dans un quotidien qui semble assez banal mais qui est traité avec justesse.

Ce que je lui reproche c'est d'avoir trop de texte par moments, et donc un manque de fluidité.

Ce premier tome m’a rendue curieuse de connaître la suite !
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Yasha - Perfect Edition, tome 1

J’avais acheté le premier tome de Yasha en même temps que le dixième (et dernier) volet de Banana Fish. Je n’avais pas pu m’empêcher de craquer… Il suffit qu’on me dise ‘Akimi Yoshida’ pour que je sois automatiquement intéressée, c’est plus fort que moi… Cette mangaka a littéralement créé une des œuvres m’ayant le plus marquée ces dernières années et ayant eu un réel impact dans ma vie, alors bon, évidemment…



Je m’étais fixée cette règle là, pourtant : je n’achèterai plus de mangas après Banana Fish !

Mais franchement, après avoir découvert le premier tome de Yasha, je ne sais pas si ma bonne résolution va tenir définitivement… (en tout cas, je suis prête à signer une pétition pour que la saga soit adaptée en anime !! Cela donnerait une masterclass à coup sûr…!)



Bref. Je parle je parle, mais je dis pas grand chose de l’œuvre.

Que dire ? Eh bien, j’ai adoré. (Est-ce une surprise ? Je ne pense pas…) Banana Fish n’était pas une exception ; je crois que je deviens réellement fan des oeuvres d’Akimi Yoshida et de sa façon de construire des intrigues palpitantes.



Il est vrai que dès le début, je n’ai pas pu m’empêcher de faire quelques comparaisons avec Banana Fish… Sei, le protagoniste, a un QI élevé, une intelligence hors norme, un bon instinct, et même des traits un peu féminins… J’y ai vu des points communs avec Ash, évidemment. Sans même parler du fait que cela est même évoqué au tout début de l’ouvrage, dans une petite présentation : des parallèles entre les deux protagonistes sont précisés d’eux-mêmes dans le petit texte, alors pour dire !

(Note à part, mais son tee-shirt « Banana » plus tard dans le manga, c’est pour m’achever ???)

On découvre donc un Sei enfant en tout cas très attachant, avec son pote Toichi, tout aussi attachant. Ils forment vraiment un bon duo.



Et puis paf, élément déclencheur… Les deux se font séparer, la mère de Sei est abattue sous les yeux de ce dernier et le voilà qui est enlevé par des hommes louches…



Ellipse.



On découvre un Sei des années plus tard. Ado. (Bon, enfin il a 18 ans. Très jeune adulte, devrais-je dire.) Devenu chercheur. Ayant grandi dans un milieu complètement atypique qu’est ce laboratoire, privé d’une vraie famille, dans ce groupe pharmaceutique, Neo Genesis… Doctorat à dix-huit ans, sens plus aiguisés que la normale… On sent très vite que Sei n’est pas une personne ordinaire, loin de là.

Dès le début, des gens lui en « veulent »... Il est considéré comme quelqu’un de précieux. (« C’est un patrimoine important de Neo Genesis » T-T pfouah, même Toichi a tiqué au mot de « patrimoine »…)



Enfin bon. En tout cas, le fait qu’il ait ce regard froid, qu’il intériorise beaucoup ses sentiments et ne laisse pas vraiment apparaitre ce qu’il ressent, qu’il ait beaucoup de responsabilités… Il me fait tellement penser à Ash purée !… (Et puis, il est la « propriété » de Neo Genesis… Comme Ash et le fait qu’il ne soit pas libre à cause de Golzine… )

Le fait que Sei ait des doutes et des remises en question permet d’avoir de la compassion pour lui. Personnage certes pas banal, mais il reste humain ; et Akimi Yoshida arrive parfaitement bien à nous en faire un portrait creusé dès le premier tome et qui donne envie d’en savoir davantage !



On retrouve donc aussi Toichi, qui a un visage vraiment enfantin pour un lycéen. Mais il est très touchant, je l’aime beaucoup ! Et il n’a pas oublié Sei même après les années passés… Il tient beaucoup à lui et cela se ressent très rapidement.



Enfin bref. Si j’ai pu noter des petits parallèles avec Banana Fish, cela ne veut en aucun cas dire que c’est un copier-coller. Pas du tout. Les thèmes de l’histoire ne sont bien sûr pas du tout les mêmes. Et Ash et Sei n’ont pas vécu les mêmes choses. Par exemple, Sei n’a jamais tué, même s’il sait extrêmement bien se battre. (Ses gardes du corps ressemblent plus à Ash sur cet aspect-là… : tuer fait limite partie de leur quotidien et ils ont toujours une arme à portée de main…)



Boooon par contre il se passe tellement de choses en un seul tome, c’est juste une dinguerie ! Akimi Yoshida a vraiment un don pour happer le lecteur dans son œuvre, c’est fou ! L’histoire est extrêmement prenante, je suis fan !!

Et la fin nous donne beaucoup de révélations qui m’ont laissée pantoise ! C’est assez complexe mais juste passionnant, j’adore !…



(Après ça, j’ai juste beaucoup trop envie de lire la suite !…)
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Yasha - Perfect Edition, tome 6

Terminus tout le monde descend ! Panini est arrivé au bout des deux séries majeures d'Akimi Yoshida qu'ils avaient décidé de publier. Croisons les doigts qu'une prochaine, Eve la suite de Yasha, par exemple, arrive prochainement !



Que dire de ce final ? Yoshida est encore une fois une reine du timing et de la montée en pression dans cet ultime volume qui va à cent à l'heure tout en se ménageant de belles respirations pleines de sagesse et d'émotion. L'autrice aura réussi à tenir jusqu'au bout son thriller familial virologique. Et si je pinaille, seule la fin me semble un peu précipitée dans les dernières pages et aurait mérité au moins un chapitre de plus pour mieux poser cet après si doux-amer.



De bout en bout, en tout cas, la série aura été réussie. Moins chargée émotionnellement que Banana Fish, elle propose une intrigue plus resserrée et moins tentaculaire mais tout aussi passionnante. L'autrice aime le thème des familles dysfonctionnelles, des relations toxiques, de l'amour plus fort que tout mais tragique ou encore du virus / drogue. Ici cependant ce dernier est plus un prétexte finalement à la réflexion sur la science en général et ses expérimentations, qui trouve dans cet ultime volume un final déchirant quant aux origines et aux liens de Rin et Sei. J'ai beaucoup aimé.



Mais comme je le disais dans le tome précédent, même si c'est un thriller extrêmement bien fait et haletant, c'est avant tout la dimension humaine que je retiendrai ici avec les réflexions de l'autrice autour de la parentalité et de la famille nucléaire classique. Elle démontre qu'un enfant n'a pas besoin forcément de deux parents pour bien grandir, une mère solo peut aussi très bien s'en sortir. Elle montre surtout qu'il vaut mieux un parent aimant que deux dysfonctionnels et toxiques. Enfin, elle montre que les liens du coeur sont plus forts et importants que les liens du sang, que ce soit en amour ou en amitié.



Ce dernier tome est donc une succession de scènes d'action entrecoupées de scènes plus intimistes et intérieures pour sublimer les sentiments de chaque personnage. Rin et Sei ont bien sûr droit à leur lot de scène faisant évoluer chacun d'eux vers la "version ultime de lui-même" comme dirait une autre autrice, mais ils ne sont pas les seuls, impossible ne pas être touché par le sacrifice de Takeru ou l'amour universel de Ru-Mei. L'autrice nous bouleverse par ces écritures âpres mais réalistes de leurs sentiments doux-amers. Et jusqu'au bout, elle nous ravagera et fera verser une petite larme. Sa marque de fabrique !



Yasha s'est donc terminé avec fougue et panache sur une note douce-amère tellement juste qu'on ne pourra l'oublier. Yoshida y aura à nouveau proposé ce qu'elle sait faire de mieux : du thriller ciselé couplé à une histoire sociétale forte dans ses questionnements scientifiques, moraux mais également humanistes, le tout avec des émotions forts juste. Il faut maintenant que Panini nous sorte sa suite Eve no Nemuri, dont il est question dans la postface signée Shimako Satô, réalisatrice et scénariste de son adaptation télé.
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Yasha - Perfect Edition, tome 5

Akimi Yoshida ne baisse pas en régime et continue de nous proposer un thriller haletant et dense dont la lecture est tout sauf reposante et remue bien des choses en nous.



Le virus est bien lâché à Tokyo où la situation va mal, mais ce n'est pas là-dessus que l'autrice va focaliser notre attention dans ce tome toujours aussi épais et riche à lire. Non, ce qui l'intéresse c'est ce duel qui oppose et attire inéluctablement les deux jumeaux et leurs familles, de coeur ou de sang. Tout est prétexte à tendre ces relations car le "père" des jumeaux a un plan pour eux et il compte bien le mettre en branle.



Parfois perdue dans les élucubrations des différentes parties sur les différents virus et armes bactériologiques utilisées par les différents camps, parfois perdues par les liens entre les différents camps et groupuscules qui apparaissent dans l'histoire, je suis néanmoins restée scotchée à l'histoire avec l'envie toujours plus grande de voir ce qu'il va advenir du destin de ces deux héros jumeaux qui tout rapproche et oppose. Le seul bémol que je tendrais à mettre à l'histoire et au travail général de l'autrice, c'est cette volonté, du moins dans ces deux oeuvres proches que sont Banana Fish et Yasha, à forcément dépeindre les États-Unis de manière sombre à travers la dénonciation d'exactions terribles, comme si les Japonais, eux-mêmes, étaient exempt de tels actes. Je surinterprète peut-être mais j'y vois ici un symptôme japonais anti-américain qui me dérange un peu.



Yasha est pour moi avant tout une série qui se tient grâce à la personnalité de ces personnages si bien écrits par l'autrice et auxquels elle donne encore une nouvelle profondeur ici. Elle montre dans ce tome une partie des origines des blessures et fêlures de Rin, ayant conduit à ce qu'il est aujourd'hui. Elle dévoile également un Sei toujours plus ambigu et ambivalent, prêt à tout pour ceux qu'il aime et même au pire pour lui, un personnage terrible et attachant, plein de nuances. Enfin, l'autrice dévoile une puissante richesse narrative dans les liens qu'elle forge entre les deux frères qui dépassent le cadre de leurs pouvoirs leur permettant d'interagir l'un avec l'autre et de percer  à jour l'autre. C'est très beau et un brin dérangeant à la fois.



Elle donne ainsi une teinte très humaine à son thriller qui pourrait semblé en être dépourvu avec toutes ses questions d'expérimentation génétique et de recherche de la prochaine évolution de l'homme. La série peut avoir l'air froide. Elle est remplie d'hommes (oui surtout d'hommes) près à tout pour leurs ambitions et leurs désirs. On y parle beaucoup de mafia, de guerre, de conflit, de manipulation et bien peu d'amour. Mais justement quand celui-ci surgit au détour d'une page, il n'a que plus d'impact car il se fait rare et montre ainsi son importance, que ce soit pour un garde du corps qui a tout sacrifié pour celui qu'il protège, que ce soit un homme qui n'a jamais pu oublier son premier amour, que ce soit un garçon à qui on a brusquement enlevé sa mère, ou un autre qui n'a jamais connu l'amour maternel. On sent combien l'autrice retient ce sentiment chez ses personnages pour ensuite le faire éclater quand il se libère.



Alors ne soyez pas aveuglé uniquement par la dimension haletante et palpitante de ce récit de conflit gémellaire et familial très tendu sur fond de guerre virologique, regardez plus loin et voyez la force que l'autrice a mise dans l'âme de ses personnages, des personnages complexes qui marquent et laissent des traces. Akimi Yoshida est la reine du thriller mais elle est aussi une princesse prometteuse pour détricoter l'âme humaine, ce qu'elle parviendra ensuite à sublimer dans son tranche de vie Kamakura Diary. Lisez Akimi Yoshida, éditez Akimi Yoshida !
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Yasha - Perfect Edition, tome 3

C'est dans ce contexte assez tendu et riche en révélations que se poursuit un récit qui, ici, pour schématiser, se partage en deux grandes étapes: tout d'abord la tentative de Sei d'échapper à Amamiya qui compte bien le garder sous son joug pour l'utiliser de gré ou de force, et ensuite de nouveaux événements sur lesquels on va éviter d'en dire plus car ils occupent la dernière partie du tome et se révèlent véritablement terribles dans ce qu'ils impliquent.
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Banana Fish - Perfect Edition, tome 10

Tome 10 de Banana Fish…

Je l'appréhendais, ce tome final. J'avais à la fois très hâte de le lire et pas hâte en même temps.



Ce dernier volume est un peu plus particulier par rapport aux autres. On a bien sûr la fin de l'histoire, mais celle-ci fait seulement trente pages. (Et tout va très vite…) Juste après, on a des petites nouvelles, toujours liées à Banana Fish - qui n'ont pas été adaptées dans l'anime. Je connaissais déjà bien de nom Angel Eyes, mais aussi The Garden with holy light - aka la partie où on voit Eiji des années plus tard, où je connaissais certaines illustrations par coeur pour les avoir vues sur les réseaux sociaux… Cela dit, hormis cela, c'était découverte complète pour ces nouvelles !



Bref, tout ça pour vous dire que je savais que cette lecture allait être éprouvante.



On commence donc par découvrir (redécouvrir pour ma part) le dénouement final.

31 pages.

31 pages où tout bascule.

La première fois que j'avais vu l'anime, je pensais avoir à peu près cerné la fin. (Rires)

J'étais si loin du compte…



Quand on ouvre le manga, on a comme d'habitude une double page avec un résumé de l'histoire et la tête des personnages. Je n'y ai jamais vraiment fait attention les tomes précédents mais là, pour la première fois, j'ai regardé et j'ai de suite remarqué que Lao était tout en haut, en premier…

Bref. Je mets ma main à couper que ce n'est sans doute pas un hasard.



Que dire sur cette fin ? Je ne vais pas en faire un pavé (sinon on y est encore jusqu'à demain), surtout que je ne veux pas spoiler le plot twist.

Mais en ce qui concerne la lettre d'Eiji… Je la connais si bien, pour l'avoir lu et entendu, encore et encore.

Tout ce que je peux dire, c'est qu'elle rend mieux en japonais. (Et en anglais à l'écrit) Mais… peu importe la langue, elle ne me laissera jamais indifférente.

Cette fin me bouleversera toujours, peu importe les années qui passeront. La douleur sera toujours présente. Peut-on réellement se remettre d'une oeuvre comme Banana Fish ?… C'est la question que je me pose.



——



Angel Eyes.

C'est la ‘nouvelle' qui suit la fin de Banana Fish. Ce fut donc une totale découverte pour ma part, comme je l'ai dit au début de ma critique ; même si je savais de quoi ça parlait. On découvre donc la toute première rencontre entre Ash et Shorter, lors d'un petit séjour en prison. Je me suis faite la réflexion que j'aurais bien aimé qu'il fasse un OVA pour ça ! Ou même pour toutes les ‘nouvelles' que l'on a, d'ailleurs. Cela aurait vraiment bien rendu à l'écran et aurait sans nul doute beaucoup plu à la fanbase Banana Fish - occasion de verser des larmes en plus, moi je dis pas non.

Enfin bon. Je ne m'attendais pas à avoir le pdv de Shorter ! Tout ce qui me vient en tête, c'est que ça donne vraiment envie de pleurer.

Non, en vrai, j'ai adoré cette partie - même si elle fait mal. J'ai eu une grosse sensation de déjà vu, en écho avec le séjour d'Ash en prison au début de Banana Fish, quand il fait la rencontre de Max, etc. Les deux scénarios sont vraiment similaires je trouve, c'est dingue… (et pas très positif ni joyeux, qu'on se le dise…)

En tout cas, c'est assez fou de voir Ash depuis le regard de Shorter. On découvre un Ash de quinze ans, déjà meurtrier, froid, imperturbable. Très ressemblant au Ash de dix-sept ans, finalement. Cela dit… il m'a semblé qu'il laissait davantage transparaître ses émotions à certains moments. (Même si cela reste très rare) Exemple quand il se met en colère contre Shorter, laisse des larmes couler sur ses joues, l'insulte et part en courant… Ou quand à la fin, il se lâche un peu et semble vraiment rire d'une façon presque insouciante, comme le souligne Shorter. Le Ash qu'on connaît plus tard n'a jamais fait cela, il ne me semble pas, sauf avec Eiji. Il ne se se laisse jamais envahir par ses émotions. Les seules fois où on le voit pleurer, c'est quand ça touche des personnes qu'il aime, quand il est avec Eiji, ou quand il est seul…

On voit donc… une plus grande sensibilité chez le jeune Ash je trouve, une vulnérabilité un petit peu plus présente. Cela reste très peu visible, certes, mais j'ai eu l'impression qu'il y avait quand même cette petit différence-là, par rapport à après où il laisse encore moins les choses transparaitre…



J'ai adoré cette partie. J'ai eu envie de pleurer. J'adore l'amitié entre ces deux-là, je la trouve vraiment belle et touchante. On n'a pas pu en voir suffisamment dans Banana Fish, malheureusement… Leur duo est pourtant incroyable…



——



The garden with holy light. (Certains éléments révélateurs de l'histoire sont sous-entendus dans les lignes qui vont suivre, donc je préfère prévenir ! Lisez Banana Fish et revenez ensuite. :))

J'ai lu cette partie le lendemain parce que je n'avais pas la force d'enchainer en sachant ce qui m'attendait.

Je savais que c'était la partie qui allait le plus m'achever (et d'un autre côté je l'ai adorée et j'aurais voulu qu'elle ne s'arrête jamais…).

On retrouve donc Eiji des années plus tard. Je pensais avoir son pdv mais en fait non, on a celui d'Akira, la nièce d'Ibé, venue rendre visite à Eiji à New-York, où il séjourne à présent. On a aussi les pensées de Sing à certains moments…

Que dire ? On revoit Eiji. Sing. (qui fait 1m90 ??!!) Michael. (Que je ne m'attendais pas du tout à voir !!)



Le moment où Akira dit « J'aimerais vraiment aller à la bibliothèque municipale de New York. », j'ai senti mon coeur louper un battement en même temps qu'Eiji. J'ai dû lever les yeux de mon livre pour faire une pause, donc pour vous dire… le coeur lourd, la gorge nouée. Bref, comprendra qui pourra.

Je pense aussi à ce passage-là :

- … Tu n'aimes pas ton prénom ?

- Je le déteste !

- Moi je l'aime. "Akira" signifie "Aube". Je connais quelqu'un… qui a le même prénom que toi.

(J'ai cru que j'allais décéder intérieurement. T-T)

Oooh et le moment de l'interview d'Eiji, quand la journaliste lui dit « D'après ce que je sais, vous avez été agressé par des voleurs il y a quelques années et grièvement blessé », j'ai levé un sourcil et ma voix intérieure s'est de suite offusquée : « Agressé par des voleurs, vraiment ??! ». (je ne m'y attendais pas à celle-là !)



Enfin bon. Toutes les références à Ash, j'ai cru mourir. :')

Et quand Eiji ressort les photos d'Ash qu'il avait enlevé de son album…

Les larmes ont un peu débordé en même temps que lui, on va dire… (et de voir cette illustration que j'avais tant vu passer sur les réseaux…)



J'ai été étonnée par contre, légèrement déçue disons : j'avais vu passer des images d'Eiji, qui revenait devant la Public Library, et je pensais que c'était dans cette nouvelle là… Mais en fait, pas du tout. Étais ce un fanart ? :( (je n'ai pas réussi à retrouver la source de l'illustration, alors je suis un peu frustrée, m'enfin bon…)



——



Private opinion.

Nous voilà à suivre le pdv de Blanca et à découvrir sa rencontre avec Ash.

On voit ainsi le Ash de quatorze ans à travers le regard de Blanca… Un regard plutôt doux et protecteur je dirais (bien qu'il soit un tueur, mais l'un n'empêche pas l'autre n'est-ce pas ?), et assez perspicace. Il arrive si bien à le cerner je trouve… Et il prédit même le fait qu'Ash se retournera contre Golzine plus tard…

Voir le Ash de 14 ans a quelque chose de… comment dire ? qui te brise le coeur, qu'on se le dise. ‘Heartbreaking'.

Il a souffert à un point inimaginable dès son enfance. Et j'ai beau connaitre ce personnage depuis deux ans à présent, cela m'anéantit toujours autant je crois…



——



Fly boy, in the sky.

Dernière nouvelle, où on suit le pdv d'Ibé alors qu'il rencontre Eiji pour la première fois.

Dernière partie, très touchante et sur une note un peu plus légère pour finir cet ouvrage…

Cela m'a fait bizarre de me dire qu'elle avait été créée en 1984. Cela remonte à pratiquement quarante ans, c'est dingue ! Je me demande d'ailleurs ce que sont devenus les fans de Banana Fish qui ont découvert l'oeuvre avec les mangas, sortis dans les années 80-90. La plupart des gens que je connais ont découvert Banana Fish comme moi, grâce à l'anime paru en 2018. Je suppose qu'on peut dire qu'il y a eu deux générations différentes ayant connu cette oeuvre ?… J'aurais bien aimé rencontrer des personnes de cette 'première génération', avoir leur avis sur l'adaptation anime s'ils l'ont vu, etc. Cela m'intrigue...



——



À la fin, on a une toute petite dernière partie nommée « Les coulisses de Banana », quelques pages sur une ambiance un peu humoristique où y intervient Akimi Yoshida en personne parlant à ses propres personnages. C'est assez sympathique. J'ai trouvé cela un peu ironique de finir sur cette note-là, après ce qu'elle a osé nous faire subir le restant de l'ouvrage… :')



Mais bon. Voilà. Lecture finie.

Les mots me manquent. (Dit celle qui vient d'écrire un pavé !)

Je ne pourrai jamais exprimer avec de simples mots tout l'amour et les émotions indescriptibles que je ressens pour cette oeuvre.

Mais elle fait partie de moi, c'est indéniable. Et ce depuis que j'ai découvert l'anime en 2021.



Ce tome 10 m'a vraiment demandé une grande force mentale par contre, c'est inimaginable. :') Mais je l'ai adoré en même temps !…

Et actuellement, je me sens vide de me dire que j'ai fini les mangas…
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Banana Fish - Perfect Edition, tome 9

On s’approche de plus en plus de la fin de la saga et du dénouement final… Cela fait bizarre. J’ai hâte et pas du tout hâte en même temps.

Étant donné que je connais déjà la fin, cela m’enlève du suspense, certes, mais malgré tout mon plaisir de lire Banana Fish est toujours le même.



Ce tome 9 est encore une fois rempli d’actions. (Et bordel que je déteste Fox… C’est vraiment un des personnages les plus détestables - et Dieu sait qu’il y en a dans Banana Fish… ) Il se passe tant de choses qu’on n’a pas le temps de s’ennuyer une seconde.

Des moments font mal. Même si j’ai une préférence pour l’anime (qui ajoute énormément d’émotions avec la musique et la voix des personnages…), le manga ne laisse pas indifférent, loin de là… Et j’ai beau connaitre certains passages par cœur, les revoir ne me laissera jamais insensible.



Je me souviens encore de mes émotions quand j’avais vu l’anime pour la première fois… Par précaution, je ne veux rien spoiler. Mais je sais à quel point cela m’avait mise dans tous mes états.



On approche de la fin, mais des personnages continuent d’être creusés. Je pense notamment à Yut Lung (dont on apprend le passif) et Blanca (dont on apprend quelques éléments de son histoire également, même si c’est assez bref). Chaque personnage a son histoire, et est plus complexe qu’il n’y parait. Et c’est ce qui rend Banana Fish si intéressant, même jusqu’au bout.



Bref. En vrai, c’est possible que ce soit un de mes tomes préférés. Je l’ai pratiquement lu d’une traite, il s’y passe tellement de choses, c’est incroyable. On assiste à des retournements de situations, toujours autant de moments de survie où on retient sa respiration en même temps que les personnages… Lors de ces moments d’action, on ne respire plus ; on est dans le récit, à tourner les pages pour savoir comment cela va se finir. J’ai beau tout connaitre, cela reste complètement addictif et je n’ai pas vu les pages se tourner.

Et puis, ce qui a fait que j’aime autant ce volet, c’est que c’est un tome d’action, mais aussi d’émotion. Je ne peux rentrer dans les détails, mais ceux qui l’ont lu comprendront…



Et cette fin…

Tout semble s’apaiser. La discussion Ash/Blanca a un ton un peu mélancolique et… comment dire ? Calme. L’ambiance n’est plus celle de quelques pages plus tôt, les ennemis sont désormais loin…

Et ça me brise le cœur.

Car ça semble être la fin.

La véritable fin.

Et on y croit…



Akimi Yoshida est quand même incroyable.

*secoue la tête en soupirant*
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Banana Fish - Perfect Edition, tome 8

Ma lecture du tome 7 remontait à octobre… Pour vous dire à quel point il était temps que je continue !!



*Comment retrouver une safe place que j’aime plus que tout, tout en me faisant du mal.* (mais ce mal là a quelque chose de réconfortant, je ne saurais l’expliquer…)

Bref, la réponse tient en deux mots : Banana Fish.



Il ne m’a fallu qu’une ou deux pages pour savoir où en était le récit. Je ne savais plus où je m’étais arrêtée la dernière fois, mais il ne m’a pas été très difficile de reconnaitre la scène sur laquelle s’ouvre ce tome 8. (Après avoir vu l’anime quatre fois, je suis bien obligée de dire que je commence à bien connaitre…)



Sans surprise, on retrouve une grosse dose d’action et de tension. Même si je connais déjà l’histoire, je ne m’en lasserai jamais. C’était chouette de voir la partie au Musée d’Histoire Naturelle, sachant que j’y suis allée durant l’été 2022… Il y a des images où j’ai presque pile les photos qui correspondent (à l’angle de vue près), cela m’a fait grandement sourire. :’)



J’ai aimé retrouver cet univers, retrouver New York et retrouver ces personnages. (Enfin, pas tous. Je pense au retour de Fox… Il ne m’avait pas manqué celui-là. Il me dégoûte, me fout la gerbe. Y a pas d’autres mots…)



La deuxième partie du tome est particulièrement intense, avec toujours aussi peu d’instants de répit et un nombre incalculable d’ennemis… Bon, la routine, finalement.

Il y a peu de moments d’émotions ou de moments un peu plus légers. Juste de l’action, de la survie. Ce n’est clairement pas un tome de tout repos…!



Dire qu’il ne reste que deux volets avant de finir la saga !!… (c'est fou)
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Yasha - Perfect Edition, tome 4

Addictif depuis le début, Yasha prend cependant ici une tournure encore plus dramatique rendant sa lecture encore plus frissonnante et happante, Akimi Yoshida est très douer pour capturer ainsi notre attention.



La recette de son succès, un thriller familial x une épidémie x un conflit mafieux japonais et mondial. Terrible ! J'ai été totalement happée dans ce tome par le récit des événements mis en branle par Rin et Sei. Le premier, avec son père, ont orchestré la propagation d'un virus mortel, le CKV, dans le Japon actuel et celui-ci va faire des ravages, poussant son frère jumeau à évoluer de la plus dramatique des façons.



Entre lutte contre le virus en mode docteur, puis en mode cobaye, puis désir de vengeance et poursuite endiablée avec combats armés à la clé, recrutement de mercenaires, développement de nouvelles aptitudes et j'en passe, impossible de s'ennuyer, tout va à cent à l'heure ! L'autrice sait vraiment comment écrire un bon thriller rythmé et captivant où elle ne lâche rien. Certes, elle emploie les grosses ficelles du genre mais que c'est plaisant. On prend vraiment plaisir à suivre les manoeuvres de Sei pour contrecarrer le terrible plan de Rin. On est émus également par les implications de ce dernier et les ravages faits sur les populations. Enfin on est happé par l'évolution scotchante que ça provoque au Japon.



Le Japon n'est pas le seul à évoluer, on assiste à une véritable transformation de Sei pour le meilleur et pour le pire. Confronté à son pire ennemi, son frère, il n'a comme possibilité que de lui-même basculer du côté obscur pour tenter de lutter à armes égales. C'est sombre très sombre et vraiment peinant de le voir accepter de participer ainsi à cette violence. En même temps, il apprend à s'accepter pleinement avec ses particularités qui le différencient des autres mais il se définie un peu trop par elles également, ce qui est tragique car c'était son humanité qui le rendait différent. Celle-ci reste là bien enfouie mais on la voit peu à peu disparaître. L'autrice est douée pour décrire des caractères complexes.



Elle est douée également pour jouer sur les registres puisqu'on passé du thriller pur jus, au film catastrophe sur fond d'épidémie dramatique à des moments beaucoup plus léger avec un humour bas de front qui me parle mais fait un peu tâche. Nous voyons Sei enfiler la blouse de médecin pour ensuite devenir plutôt une espèce de justicier-terroriste qui n'hésite pas à se salir les mains. Cela permet à l'autrice d'ajouter de nouveaux personnages ce qui est agréable ici puisqu'on s'enfermait un peu trop avant dans un schéma bien connu et limité, là on élargit à nouveau l'histoire, que ce soit avec les mercenaires engagés par Sei ou le grand ponte chinois rencontré par Rin. A chaque fois, ceux-ci sont au coeur de toute la dynamique, tous les plans, comme s'ils étaient la force d'attraction faisant tout bouger.



J'ai un peu plus de mal avec les dessins d'Akimi Yoshida qui bien que présentant une simplicité facilité la lecture des scènes d'action et de tension, manque pour moi du truc en plus, de la classe notamment que j'attends pour ce genre de titre qui doit claquer plus. En revanche, j'adore les références dramatico-poétique qu'elle fait à des éléments de philosophie / mythologie bouddhique donnant beaucoup de corps et d'épaisseur à son récit, notamment dans sa définition des deux frères jumeaux et de leur statut un peu à part. Cela fascine.



Sans surprise, j'ai à nouveau été happée par ce récit où les plans de Sei se dévoilent de plus en plus et nous entraînent dans une mécanique dramatique poussant chacun dans ses pires retranchements. Entre un Tokyo sous cloche, un gentil frère qui vire méchant, un virus ravageur et de nouveaux alliés, pas le temps ou presque de respirer et c'est justement ce qu'on aime ici !
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Banana Fish - Perfect Edition, tome 6

Encore une nouveau tome de Banana Fish au top. Je ne peux pas être déçue de ce manga, c'est impossible.

L'histoire est prenante et si bien faite ! Les personnages sont attachants et les relations des uns avec les autres sont vraiment bien construites.
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Banana Fish - Perfect Edition, tome 5

Je suis contente d'avoir pu replonger dans l'univers de Banana Fish que j'affectionne tant. J'ai pris plaisir à retrouver les personnages. L'histoire, comme à son habitude, n'épargne pas Ash, et malgré que ça me sert le cœur, je ne peux m'empêcher de poursuivre ma lecture et d'adorer. Ce manga est une pépite. Je l'adore.

Que ce soit les personnages, l'intrigue... Tout fonctionne pour moi, ça restera toujours un coup de cœur !
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Yasha - Perfect Edition, tome 3

Lutte fratricide sous fond de virus bactériologique et de guerre des labos + guerre des états, Akimi Yoshida ne nous épargne pas.



Dans ce thriller scientifique tendu, elle corse encore les choses dans cette suite avec une rivalité Rin - Sei au sommet. La haine que Rin voue à son frère prend une sacrée tournure ici. Jamais je n'aurais imaginé qu'on en arriverait là entre eux. Rin est totalement aveuglé par ses sentiments et l'autrice rend à merveille son basculement dans cette folie destructrice visant son jumeau et reposant aussi bien sur leurs ressemblances que dissemblances dont il semble souffrir. Elle joue pour cela sur les souvenirs et sensations qu'ils semblent partager mais de manière parfois un peu trop discrète, donc je n'aurais pas été contre une accentuation de ce volet un brin ésotérique.



Il faut dire que l'aspect politico-scientifique occupe une grande partie de l'espace ici après la rivalité entre les deux frères. S'y ajoute une rivalité Japon - Etats-Unis, Amamiya - Labo pharmaceutique ayant "embauché" Sei. On a l'impression de deux grosses puissances qui jouent avec la vie des populations pour leurs petites guéguerre d'égo, ce qui est renforcé par des dirigeants totalement caricaturaux, qui sont juste des figures de gros méchants égocentriques, l'un avec le fantôme de la femme qu'il a aimé, l'autre avec ses tendances pédophiles. C'est un peu grossier mais ça fonctionne très bien.



Il faut dire que l'intrigue plus scientifique autour du virus menaçant l'ensemble de la population prend une jolie ampleur prophétique ici, surtout après nos années COVID. Quand on voit comment ils usent et abusent de la science pour créer des situations terrifiantes qui leur seront profitables, ça fait froid dans le dos. C'est aussi particulièrement immersif avec une belle gestion du stress, de la tension et de la folie scientifique, au point d'être presque crédible dans ce déroulé virus-apocalyptique. L'autrice sait ménager son suspens, ses effets et nous  tenir en haleine.



Elle a créé une oeuvre pleine d'action, de rebondissements et de surprises. Ici, nous avons droit à la fois aux test sur Sei, son évasion, la contre-attaque de Rin à travers son amant, ou encore l'attaque virale au labo. C'est varié mais archi dynamique et prenant à lire. A chaque fois, les interventions quasi militaires des groupes rendent le récit encore plus tendu et réaliste, avec cependant de grosses vibes guerre des gangs à la Banana Fish, qui devraient ravir les fans, surtout que tout s'équilibre parfaitement.



Thriller efficace avec une rivalité qui gagne en puissance et crée des situations de conflits mettant en jeu virus et groupes armé, Yasha est vraiment une oeuvre comme Akimi Yoshida savait en créer dans les années 90. C'est complexe, prenant, réaliste et humain. Une oeuvre passionnant à suivre dans laquelle on vibre, tremble et souffre avec les héros et les antagonistes de l'histoire.
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Banana Fish - Perfect Edition, tome 4

Malgré la taille conséquente d'un tome de perfect edition, je ne me lasse pas de Banana Fish, je dévore chaque tome car l'auteure est incroyable, l'histoire est addictive et en fin de tome, j'ai tellement hâte d'avoir le suivant. Avec cette épaisseur, il y a un rythme effréné de lecture qui s'active en moi. C'est sombre mais qu'est-ce que c'est intéressant à suivre. Ash n'arrive pas à se relever de la perte de Shorter, Eiji fait tout pour panser ses plaies profondes dans le coeur de son ami. Mais il faut faire face à la chasse à l'homme qui s'est mis en place par Arthur pour avoir la tête d'Ash ou son corps empaillé au choix. Comment faire pour patienter jusqu'au tome suivant ? Une petite boulimie d'autres mangas et de romans, pardi !
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Banana Fish - Perfect Edition, tome 4

J'aime vraiment énormément ce manga. Il fait parti de mes grands coup de cœur. L'univers est dur, violent et n'épargne pas les sentiments, mais les personnages et la trame et le style de l'histoire... tout est immersif. je suis très attachée à chaque détail de ce manga.
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Banana Fish - Perfect Edition, tome 3

Encore un tome génial ! Banana Fish est vraiment un manga et animé coup de cœur. C'est dur, prenant et touchant à la fois. C'est le genre de lecture qui laisse le cœur en miette, mais qui en même temps donne envie d'en redemander encore. J'ai hâte de pouvoir me procurer la suite !
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Banana Fish - Perfect Edition, tome 2

J'avais hâte de replonger dans l'univers de Banana Fish. L'histoire est toujours aussi prenante, et les personnages sont attachants. J'adore les liens qu'ils ont les uns envers les autres. L'histoire est dure et violente, elle touche et prend aux tripes. Et dans ce second tome, la trame évolue et prend de l’ampleur ! Je suis toujours autant fan !
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