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Critiques de Akira Hiramoto (31)
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Prison school, tome 5

Voilà une série de mangas sur laquelle je travaille depuis assez longtemps maintenant, le Tome 5 !!|Prison School 5 a été publié pour la première fois au Japon en 2012| Dès le début ça a failli partir en Golden Shower|| Alors je comprend bien que l'humour du manga est basé sur ce genre de malaise... | Et ça en "tombe dans les vapes" |Oh là là les seins de Meiko sont dignes d'un HentaÏ de mauvais réalisme!!x)| Avec ce manga super graveleux je me sens tout léger niveau érotisme dans mes écrits|Lol mais mes Phoenix ... C'est tellement "Too much" quand Meiko se met à sauter sur sa vulve sur une petite figurine devant plein de garçons, c'est le personnage de Meiko qui change tout !!|Ses seins et ses fesses sont carrément disproportionnés. Et avouons le, c'est laid!|Et omniprésent, en plus!|Je le dis; dans sa globalité, je n'ai pas aimé!
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Prison school, tome 20

Le conseil clandestin et le conseil officiel s’apprêtent à livrer une joute de la plus haute importance. Le conseil qui gagne domine l’autre au point de se légitimer et de faire disparaître le conseil concurrent. Les garçons pensent que l’activité scolaire sera un concours de miss toi-shirting mouillé mais ils pensent aussi que si c’est le conseil officiel qui gagne, il annulera ce concours pour organiser une activité plus innocente. Pourtant victime du conseil clandestin, dont la présidente, la jolie mais androphobe (peur des hommes), et peut-être homosexuelle, Mari Kurihara qui est aussi la fille du proviseur, a été une véritable et cruelle bourrelle, les garçons se coupe en quatre pour offrir la victoire à ce conseil. Mais les choses se compliquent. Kiyoshi porte la culotte d’Hana qui elle porte le slip de ce dernier, la vice-présidente est toujours à l’ouest alors que c’est la seule qui peut vaincre André. Rien n’est gagné. Mais les garçons, aussi débiles soient-ils dans leurs comportements, commencent aussi a éprouver des sentiments pour certaines filles. Dont celles qui sont alliées mais aussi d’autres qui sont adversaires. Après la première épreuve, les deux équipes sont à égalité. Pendant ce temps, le proviseur est égaré, amnésique, il vit dans les bois en string et à retrouver sa copine qui vient malheureusement pour lui, de se faire enlever…



Pour être débile, ce manga est vraiment réussi. Je ne sait pas combien de tomes sont prévus pour terminer cette série qui a l’art de tirer sur l’élastique. On avance et on recule. Mais le graphisme, il faut l’avouer, sauve un peu l’ensemble. Je pense que si le scénario et trash et décalé, c’est volontaire par contre, nous aurions pu arriver au même point avec la moitié d’épisode. Je me demande à la fin de chaque opus si je vais continuer à lire cette série qui cultive le débile et au final, je craque à chaque nouvelle épisode. La cruauté des premiers épisodes est derrière nous, ça aide un peu à continuer car elle devenait limite insoutenable. Certains personnages, dont le proviseur et Gautier sont presque insupportables. D’autres sont attachants, comme Kiyoshi, que je peux qualifier de personnage principal. L’obsession tourne autour des fortes poitrines et des petites culottes (A croire que c’est le fantasme numéro 1 au Japon). Malgré que ce sont les filles qui sont plutôt les dominantes, elles restent finalement des objets. Les mecs sont indémontables, je ne me souviens pas avoir été un adolescent puceau aussi débile. Je pense même que si ça avait été le cas, je serait toujours un puceau débile. C’est affligeant. Bon, vais-je charger le prochain épisode ou bien vais-je décider à abandonner cette série ? Je n’aime pas lâcher ce que j’ai commencé, je dois à chaque fois me faire violence. On verra au prochain opus. Lu en format Kindle avec une très belle numérisation. Si je pouvais lire d’autres avis que le mien, ça m’aiderais peut-être à comprendre l’intérêt de poursuivre cette saga.



Personnages :



Le lycée : Lycée privé Hachimistu. Avant, c’était un lycée réservé aux filles. Il est devenu mixte depuis cette année scolaire, ce qui a bouleversé les mœurs de l’établissement et être le départ de ce manga.



Les garçons :



Kiyoshi Fushino : sans doute le héros principal et le moins benêt des garçons. Il a eu un coup de foudre pour Chiyo Kurihara. Maladroit, il croit souvent bien faire mais les filles du conseil clandestin condamne, malgré ses efforts, tous les garçons simplement parce qu’ils sont des garçons.



Gakuto : de son vrai nom Takehito Morokusu. C’est le stratège du groupe des garçons, quoique plutôt looser. Il a l’esprit d’équipe au point de se sacrifier pour aider ses camarades. Il est passionné d’histoire à tel point qu’il parle comme dans les temps anciens.



Shingo Wakamoto : il est le rebelle du groupe. Il n’hésite pas par amour ou par intérêt, même juste par gourmandise, de trahir ses camarades masculins.



André : de son vrai nom Reiji Ando. C’est une montagne de chair. Un colosse mais qui est masochiste au point de se soumettre pas plaisir à toutes les tortures imposées par les filles. Il perd régulièrement la raison quand il est en manque de punition. C’est le membre ingérable du groupe.



Jô : Jôji Nezu. C’est le plus secret des garçons du groupe. Il ne quitte jamais sa capuche. Il est amoureux d’une jeune fille, Mistuko, passionnée de bibliothèque comme lui.



Les filles du conseil clandestin d’élève :



C’est le conseil d’élève qui dirige de main de fer la discipline du lycée. Le lycée était réservé aux filles. Il y a une prison à l’intérieur où le conseil peut envoyer les élèves qui ne respectent pas le règlement imposé par le dit conseil.



Mari Kurihara : présidente du conseil clandestin des élèves. C’est la fille du proviseur. C’est un véritable despote. Elle dirige de main de fer le conseil, demande à ses amies une rigoureuse discipline. Elle prend vraiment tous les individus de sexe masculins, même son père, pour des pervers. Elle peut se montrer très cruelle. Elle doit souffrir de misandrie.



Meiko Shiraki : vice-présidente du conseil d’élève clandestin. Elle peut se montrer cruelle, intraitable et complètement inféodé à Mari. Après, à son tour, d’avoir vécu de mauvais traitements, elle retombe dans les complexes de son enfance et devient fragile et profondément perturbée.



Hana Midorikawa : secrétaire du conseil clandestin. Elle semble amoureuse de Kiyoshi. Elle est obsédée ou complexée par l’urine. C’est aussi un maître en art martiaux qui n’hésite pas à corriger ses adversaires.



Anzu Yokoyama : membre du conseil clandestin. Personnage secondaire. Amoureuse mais jalouse au point de s’en éloigné de Shingo.



Filles du conseil des élèves :



C’est le conseil des élèves officiels. Il est concurrent avec le conseil clandestin, essayant de légitimer sa raison d’être par rapport à au conseil clandestin.



Keito Takenomiya : présidente du conseil des élèves. >En compétition avec Mari, présidente du conseil clandestin. Elle est amoureuse de Mari, au point d’être cruelle avec elle. Elle est assez fourbe et est aussi la cause de la régression de Meiko.



Risa Bettô : vice-présidente du conseil d’élève. Adepte du kendo mas aussi de SM. Elle aime être dominatrice et elle a soumis André, après beaucoup d’efforts et de travail.



Mistuko Yokoyama : secrétaire du conseil des élèves. Passionnée de bibliothèque et sans doute amoureuse de Shingo, qui, comme elle, aime les livres. Elle est très maladroite, ce qui la met toujours dans des situations délicates dans lesquelles elle montre inconsciemment sa culotte.



Autre personnages récurrents :



Chiyo Kurihara : camarade de classe de Kiyoshi. Elle est aussi la petite sœur de Mari, la présidente du conseil clandestin des élèves et la fille du proviseur du lycée Hachimistu. C’’et une jeune fille équilibrée qui supporte difficilement la cruauté et les exactions de sa grande sœur. Elle pourrait être amoureuse de Kiyoshi.



Satô : surnommée miss gâteau. Elle est la star du lycée car elle a l’étoffe d’une idole.



Le proviseur : père de Mari et Chiyo Kurihara, il est l’autorité suprême de l’académie. Mais sa fille aînée, Mari, profite de lui pour abuser de ses pouvoirs. Il est obsédé par les jolis culs et ne parle qu’en faisant des jeux de mots liés au sexe.





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Prison school, tome 19

Synopsis :

L'histoire se déroule dans une école renommée et très stricte auparavant réservée aux filles. Mais l'établissement change sa politique et scolarise cinq jeunes hommes qui par leur comportement, se retrouveront très rapidement en quarantaine. Ils devront faire face à toutes sortes d'embûches pour sortir de cette situation critique et échapper aux griffes du conseil clandestin des élèves.



Le conseil des élèves a mis au défit le conseil clandestin lors des compétitions scolaires. Le but est que le perdant cesse toute activité, laissant les pouvoirs à l'autre conseil. Mais, dans l'épisode précédent, Hana voulait se venger de Kiyoshi en lui urinant dessus. Après avoir accompli sa vengeance, elle embrasse ce dernier. Maintenant, les garçons, qui pour des raisons inavouables, soutiennent le conseil clandestin, s'entraînent pour la compétition. L'autre conseil en profite pour faire étalage de leurs forces. Pendant ce temps, le proviseur, égaré et sous le choc devenu amnésique, tente de se souvenir qui il est et se promène en string dans les rues, tentant de retrouver son identité et l'endroit où il vit.

La complétion commence, les premières à s'affronter sont Hana et Risa…



Une drôle de série à l'humour trash et déjanté. Je ne sais comment l'apprécié Ca fait un moment qu'elle est publiée mais depuis moins d'un an, elle est éditée en numérique. Alors, curieux, je l'ai téléchargée en format KINDLE. J'ai profondément été dérangé par la cruauté du conseil clandestin par rapport aux garçons. Ceux-ci ne sont pas en reste non plus côté bêtise. Si ce n'est Kiyoshi, le plus équilibré des gars et victime du comportement déplacé de ses camarades masculins, les garçons sont plutôt des adolescents débiles, voyeurs, au point de commettre des con… pour mater les filles. La présidente du conseil clandestin doit souffrir sérieusement d'androphobie. Elle accepte toutefois de s'associer aux garçons qu'elle a tant torturé. Nous sommes dans le genre ecchi, donc, les femmes, même si se sont elles qui, depuis le début de la série, asservissent les garçons, sont aussi des objets, des corps exposés avec de la lingerie sexy, des vêtements trop serrés, des poses aguicheuses. L'équilibre entre les garçons et les filles n'existe jamais. Les uns se montrent stupides, perdant les moyens à la vue de n'importe quelles petites culottes, les autres, provocatrices mais détestant les mâles au point de les piéger pour troiuver des raisons de les punir. Si la série peut être qualifiée d'érotique, il faut attendre au moins le dix-septième épisode pour vivre une véritable scène érotique, entre les deux présidentes. L'humour est plutôt grivois. Certains personnages comme le proviseur et Gakuto sont limite insupportables. Mais je m'accroche, maintenant que je suis avancé, j'aimerais vraiment voir l'issue de cette histoire incertaine et plutôt invraisemblable et débile.



Personnages :



Le lycée : Lycée privé Hachimistu. Avant, c'était un lycée réservé aux filles. Il est devenu mixte depuis cette année scolaire, ce qui a bouleversé les moeurs de l'établissement et être le départ de ce manga.



Les garçons :



Kiyoshi Fushino : sans doute le héros principal et le moins benêt des garçons. Il a eu un coup de foudre pour Chiyo Kurihara. Maladroit, il croit souvent bien faire mais les filles du conseil clandestin condamne, malgré ses efforts, tous les garçons simplement parce qu'ils sont des garçons.



Gakuto : de son vrai nom Takehito Morokusu. C'est le stratège du groupe des garçons, quoique plutôt looser. Il a l'esprit d'équipe au point de se sacrifier pour aider ses camarades. Il est passionné d'histoire à tel point qu'il parle comme dans les temps anciens.



Shingo Wakamoto : il est le rebelle du groupe. Il n'hésite pas par amour ou par intérêt, même juste par gourmandise, de trahir ses camarades masculins.



André : de son vrai nom Reiji Ando. C'est une montagne de chair. Un colosse mais qui est masochiste au point de se soumettre par plaisir à toutes les tortures imposées par les filles. Il perd régulièrement la raison quand il est en manque de punition. C'est le membre ingérable du groupe.



Jô : Jôji Nezu. C'est le plus secret des garçons du groupe. Il ne quitte jamais sa capuche. Il est amoureux d'une jeune fille, Mistuko, passionnée de bibliothèque comme lui.



Les filles du conseil clandestin d'élève :



C'est le conseil d'élève qui dirige de main de fer la discipline du lycée. Le lycée était réservé aux filles. Il y a une prison à l'intérieur où le conseil peut envoyer les élèves qui ne respectent pas le règlement imposé par le dit conseil.



Mari Kurihara : présidente du conseil clandestin des élèves. C'est la fille du proviseur. C'est un véritable despote. Elle dirige de main de fer le conseil, demande à ses amies une rigoureuse discipline. Elle prend vraiment tous les individus de sexe masculin, même son père, pour des pervers. Elle peut se montrer très cruelle. Elle doit souffrir de misandrie.



Meiko Shiraki : vice-présidente du conseil d'élève clandestin. Elle peut se montrer cruelle, intraitable et complètement inféodé à Mari. Après, à son tour, avoir vécu de mauvais traitements, elle retombe dans les complexes de son enfance et devient fragile et profondément perturbée.



Hana Midorikawa : secrétaire du conseil clandestin. Elle semble amoureuse de Kiyoshi. Elle est obsédée ou complexée par l'urine. C'est aussi un maître en art martiaux qui n'hésite pas à corriger ses adversaires.



Anzu Yokoyama : membre du conseil clandestin. Personnage secondaire. Amoureuse mais jalouse au point de s'en éloigné de Shingo.



Filles du conseil des élèves :



C'est le conseil des élèves officiels. Il est concurrent avec le conseil clandestin, essayant de légitimer sa raison d'être par rapport à au conseil clandestin.



Keito Takenomiya : présidente du conseil des élèves. En compétition avec Mari, présidente du conseil clandestin. Elle est amoureuse de Mari, au point d'être cruelle avec elle. Elle est assez fourbe et est aussi la cause de la régression de Meiko.



Risa Bettô : vice-présidente du conseil d'élève. Adepte du kendo mas aussi de SM. Elle aime être dominatrice et elle a soumis André, après beaucoup d'efforts et de travail.



Mistuko Yokoyama : secrétaire du conseil des élèves. Passionnée de bibliothèque et sans doute amoureuse de Shingo, qui, comme elle, aime les livres. Elle est très maladroite, ce qui la met toujours dans des situations délicates dans lesquelles elle montre inconsciemment sa culotte.



Autre personnages récurrents :



Chiyo Kurihara : camarade de classe de Kiyoshi. Elle est aussi la petite soeur De Mari, la présidente du conseil clandestin des élèves et la fille du proviseur du lycée Hachimistu. C''et une jeune fille équilibrée qui supporte difficilement la cruauté et les exactions de sa grande soeur. Elle pourrait être amoureuse de Kiyoshi.



Satô : surnommée miss gâteau. Elle est la star du lycée car elle a l'étoffe d'une idole.



Le proviseur : père De Mari et Chiyo Kurihara, il est l'autorité suprême de l'académie. Mais sa fille aînée, Mari, profite de lui pour abuser de ses pouvoirs. Il est obsédé par les jolis culs et ne parle qu'en faisant des jeux de mots liés au sexe.





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Prison school, tome 1

L'histoire se passe dans un Lycée où 99% des pensionnaires sont des nanas! Et même pas des lesbiennes! 5 Lycéens garçons seulement se sont inscrits... Presque aussitôt, les premières tentatives de drague... La passion commune du Sumotori, lui fait décrocher un rencard. Cette bande de pervers va aller en douce dans les salles de bains des filles... La triste histoire d'une bande de puceaux. Ca ne se prend pas trop au sérieux, au moins! Les expressions des visages sont burlesques.

Commence alors un "dressage" violent visant à les punir et leur apprendre les bonnes manières! Encore une fois, burlesque! La taille du bonnet de ces dames suffiront à vous faire réaliser que c'est une fiction.

"J'ai été humilié ! Mais j'ai adoré ça ! J'en voulais plus!"

"Un fan de sumos ne peut pas être mauvais."
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Prison school, tome 1

J'ai lu un article à propos de cette saga. Comme je n'y connais pas grand chose, j'ai voulu découvrir. Ne soyons pas sectaire.



Personnellement, je n'ai pas trop accroché. Les graphismes sont fluides, obscurs, mais aussi lumineux lorsque le graphiste met en valeur les corps nus de jeunes filles. Mais comment dire... le bonheur dans la souffrance n'est pas trop ma came.



Plusieurs thèmes sont soulevés dans ce premier opus : la puberté, la mixité, le changement, l'enfermement, les émois sexuels et le premier amour. D'ailleurs les cinq résidents sont des archétypes d'adolescents qui sont un peu hors des normes. Et ici nous avons : le boy scout, l'intello, asthmatique, le suiveur et l'obèse. Tous puceaux, tous obsédés et tous heureux de se faire maltraiter par une vice-présidente du conseil clandestin des élèves très dominatrice qu'on peut maintes fois croiser dans un film porno de type BDSM. Un jeu de déviances etc.



C'est surement bien pour les amateurs du genre, mais personnellement ma lecture s'arrêta ici.
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Prison school, tome 4

Kiyoshi avait du voler un uniforme pour partir en rencard avec la soeur de la présidente, mais il a pris celui de Chiyo, de par ce fait, perdant le coeur de celle-ci, qui l'a pris pour un pervers. Après, pervers ou pas, ça dépend des goûts des gens... Cette école est cependant plus que tyrannique et Kiyoshi désire désormais plus que tout s'en échapper ! ... Quant à Meiko, elle est toujours plus caricaturale avec son string qui ne cache rien de son anatomie... (d'ailleurs pourquoi elle mouille autant sans arrêt ??... C'est pas normal mademoiselle il faudrait consulter èé) Kiyohsi se voit (fort heureusement?) renvoyé de l'école !! ; -) Des fois j'en profite pour mettre une petit parenthèse mais on peut être considéré comme pervers pour de bonnes raisons ou pour un mal entendu. Tout dépend de la perversité en question et surtout de la personne avec qui on la partage !! Mais pour m'être lancé dans la nouvelle érotique, par exemple, j'imaginais beaucoup plus de rejet de la part des gens alors qu'en fait pas tant que ça : -)... Bref, Kiyoshi est sur le point d'être renvoyé de Prison School mais Chiyo intervient miraculeusement "Je regrette de t'avoir jugé sans même écouter ta défense"... "Si Kiysho quitte l'école alors je pars aussi !" Points faibles; un peu noir, pas si drôle... La Présidente part en croisade Misambre contre tout les garçons !! ... Certains membres de l'école semblent capables d'exercer un pouvoir sur certains types d'animaux.
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Prison school, tome 2

Totalement burlesque! Des physiques que l'on ne verrait JAMAIS IRL. Ca va toujours plus loin. Coups de cravache dans les parties masculines intimes... La gardienne rejoint le héro dans les toilettes car il l'a surpris en train de faire pipi et œil pour œil... Elle doit l'immobiliser et sortir son "tuyau". Je le prend plus tel un Hentaï maintenant, il me paraît plus assumé. Donc je donne une note un peu meilleure que le T1. Merci @+++
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Prison school, tome 23

Le combat de style cavalerie humaine continue. La présidente du conseil clandestin des élève est au bord du désespoir. Kiyoshi délire depuis qu’il a dû montrer son sexe aux filles du lycée et qu’il s’est cru en état de mort cérébrale à ce moment là. La vice présidente est aussi dans un état catatonique et semble plus demeurée que jamais. Keito Takenomiya, la présidente du conseil officiel des élèves profite de la situation pour insulter, humilier d’avantage Meiko, la vice présidente du conseil clandestin pour assurer sa victoire. C’est de justesse que le groupe de Mari esquive les attaques du très puissant André. Les deux jeunes femmes, Mari et Meiko se retrouvent presque seins nus et pour elles, très pudiques de nature, cela devient un énorme problème pour continuer sereinement la compétition. Meiko fait alors un gros blocage et se retrouve à son tour en état de mort cérébrale comme l’avait été Kiyoshi dans l’épisode précédent. D’ailleurs, il est le seul à voir ce qui arrive à la vice-présidente car il vient de vivre la même expérience. Pendant ce temps, dans la forêt, le recteur, qui est le père de Mari, est toujours poursuivi par les Yakuzas qui recherche la fiancée de leur chef. Mais là aussi, les choses ne sont pas simple car un énorme ours sauvage vient compliquer la chasse à l’homme organisée. La présidente du conseil clandestin tente de trouver des stratagèmes pour cacher les seins de Meiko et les siens mais cela l’affaiblit de plus en plus face à son adversaire qui se montre de plus en plus cruelle et sans pitié…



Bon, trois tomes autour d’une bête bataille de cavalerie humaine qui est de plus en plus statique et on en sort pas encore à la fin de cet épisode, ça commence vraiment à devenir barbant. En plus, l’action est coupée sans cesse et sans transition par une histoire parallèle et sans rapport qui est celle du proviseur, le père de Mari et de Chiyo qui tente d’échapper à une bande de Yakuza avec la fiancée de leur chef. Je ne vois là aucun intérêt narratif. Enfin, je pense que ce manga n’a aucun intérêt narratif mais je ne sais pas pourquoi, je me dit que j’ai déjà été si loin que je me dois de poursuivre la lecture de cette série. Il semble que pour le prochain tome, le mangaka va enfin en finir de tirer sur l’élastique car je pense qu’il est si tendu qu’il finira par rompre. Il est temps de relancer le scénario pour qu’il revienne sur les premières bases, à savoir une probable histoire d’amour entre Kiyoshi et la sœur de Mari : Chiyo. Il semble que d’autres filles risquent aussi d’avoir des sentiments envers notre héros. Dans ce tome, les autres arçons, qui brillent en pensant avec leurs stupides hormones mâles sont plutôt passifs et pas top présents, ce qui n’est pas plus mal. Bref, encore un opus de trop, trop long, trop ennuyeux, trop immobile, trop haché, trop incohérent, trop tiré par les cheveux, enfin, trop du côté contre productif. Bon, j’espère qu’on va enfin sortir de cette composition à la c.. et retrouver de la cohérence, de l’amour et découvrir le lien entre l’histoire vécue par Mari et son équipe et celle vécue par son paternel proviseur. Le graphisme est constant et égale aux épisodes précédents. Lu, comme à l’accoutumée, en format numérique KINDLE avec une très belle numérisation.



Personnages :



Le lycée : Lycée privé Hachimistu. Avant, c’était un lycée réservé aux filles. Il est devenu mixte depuis cette année scolaire, ce qui a bouleversé les mœurs de l’établissement et être le départ de ce manga.



Les garçons :



Kiyoshi Fushino : sans doute le héros principal et le moins benêt des garçons. Il a eu un coup de foudre pour Chiyo Kurihara. Maladroit, il croit souvent bien faire mais les filles du conseil clandestin condamne, malgré ses efforts, tous les garçons simplement parce qu’ils sont des garçons.



Gakuto : de son vrai nom Takehito Morokusu. C’est le stratège du groupe des garçons, quoique plutôt looser. Il a l’esprit d’équipe au point de se sacrifier pour aider ses camarades. Il est passionné d’histoire à tel point qu’il parle comme dans les temps anciens.



Shingo Wakamoto : il est le rebelle du groupe. Il n’hésite pas par amour ou par intérêt, même juste par gourmandise, de trahir ses camarades masculins.



André : de son vrai nom Reiji Ando. C’est une montagne de chair. Un colosse mais qui est masochiste au point de se soumettre pas plaisir à toutes les tortures imposées par les filles. Il perd régulièrement la raison quand il est en manque de punition. C’est le membre ingérable du groupe.



Jô : Jôji Nezu. C’est le plus secret des garçons du groupe. Il ne quitte jamais sa capuche. Il est amoureux d’une jeune fille, Mistuko, passionnée de bibliothèque comme lui.



Les filles du conseil clandestin d’élève :



C’est le conseil d’élève qui dirige de main de fer la discipline du lycée. Le lycée était réservé aux filles. Il y a une prison à l’intérieur où le conseil peut envoyer les élèves qui ne respectent pas le règlement imposé par le dit conseil.



Mari Kurihara : présidente du conseil clandestin des élèves. C’est la fille du proviseur. C’est un véritable despote. Elle dirige de main de fer le conseil, demande à ses amies une rigoureuse discipline. Elle prend vraiment tous les individus de sexe masculins, même son père, pour des pervers. Elle peut se montrer très cruelle. Elle doit souffrir de misandrie.



Meiko Shiraki : vice-présidente du conseil d’élève clandestin. Elle peut se montrer cruelle, intraitable et complètement inféodé à Mari. Après, à son tour, d’avoir vécu de mauvais traitements, elle retombe dans les complexes de son enfance et devient fragile et profondément perturbée.



Hana Midorikawa : secrétaire du conseil clandestin. Elle semble amoureuse de Kiyoshi. Elle est obsédée ou complexée par l’urine. C’est aussi un maître en art martiaux qui n’hésite pas à corriger ses adversaires.



Anzu Yokoyama : membre du conseil clandestin. Personnage secondaire. Amoureuse mais jalouse au point de s’en éloigné de Shingo.



Filles du conseil des élèves :



C’est le conseil des élèves officiels. Il est concurrent avec le conseil clandestin, essayant de légitimer sa raison d’être par rapport à au conseil clandestin.



Keito Takenomiya : présidente du conseil des élèves. En compétition avec Mari, présidente du conseil clandestin. Elle est amoureuse de Mari, au point d’être cruelle avec elle. Elle est assez fourbe et est aussi la cause de la régression de Meiko.



Risa Bettô : vice-présidente du conseil d’élève. Adepte du kendo mas aussi de SM. Elle aime être dominatrice et elle a soumis André, après beaucoup d’efforts et de travail.



Mistuko Yokoyama : secrétaire du conseil des élèves. Passionnée de bibliothèque et sans doute amoureuse de Shingo, qui, comme elle, aime les livres. Elle est très maladroite, ce qui la met toujours dans des situations délicates dans lesquelles elle montre inconsciemment sa culotte.



Autre personnages récurrents :



Chiyo Kurihara : camarade de classe de Kiyoshi. Elle est aussi la petite sœur de Mari, la présidente du conseil clandestin des élèves et la fille du proviseur du lycée Hachimistu. C’’et une jeune fille équilibrée qui supporte difficilement la cruauté et les exactions de sa grande sœur. Elle pourrait être amoureuse de Kiyoshi.



Satô : surnommée miss gâteau. Elle est la star du lycée car elle a l’étoffe d’une idole.



Le proviseur : père de Mari et Chiyo Kurihara, il est l’autorité suprême de l’académie. Mais sa fille aînée, Mari, profite de lui pour abuser de ses pouvoirs. Il est obsédé par les jolis culs et ne parle qu’en faisant des jeux de mots liés au sexe.





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Prison school, tome 1

J'avais prévu d'emprunter Prison School à la médiathèque un jour ou l'autre. Mais grâce aux éditions Soleil Manga, en cette période de confinement, j'ai pu découvrir le tome 1 gratuitement et ça m'a sauvé la mise. Je ne suis clairement pas le public visé. Ce manga est typiquement masculin au vu du fan service à gogo. ça se veut drôle d'un certain côté mais je n'arrive pas à trouver ça drôle. Et puis, je trouve l'histoire hyper malsaine même si les rôles sont inversés (que les filles aient l'ascendant sur les garçons). Il y a donc du fan service à outrance, de la nudité, de la vulgarité dans les propos, des humiliations, de la violence. C'est un manga pour public averti surtout. Je n'ai rien de particulier à dire sur les dessins, c'est correct dans l'ensemble. Ce n'est pas une mauvaise lecture en soi, c'est juste que ça ne m'intéresse pas de continuer, que ce n'est pas fait pour moi. Du coup, je n'aurais pas besoin d'emprunter la suite. Je m'arrête là avec ce manga.
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Prison school, tome 22

Le conseil clandestin était presque battu quand Mari à l’idée de montrer que Kiyoshi porte une culotte de file et en plus il est en érection. La culotte n’étant pas adaptée à sa taille, surtout dans cet état, son érection est mise à jour, ce qui effraye l’adversaire. Mais Kiyoshi en a tellement honte qu’il en fait un arrêt cardiaque. Il reste planté là, désespérée. Le groupe l’encourage et lui font comprendre qu’il ne doit pas avoir honte de son attitude car son sacrifice est digne du comportement d’un héros. Le pauvre se ressaisi. Mais la vice-présidente est toujours lobotomisée par sa dépression et n’arrive pas à faire vaciller André, montagne de chair soumis au comité des élèves officiel, qui sert de monture à la présidente légale. Pendant ce temps là, toujours perdu dans la forêt, amnésique et en fuite avec la fiancée d’un Yakuza, est toujours poursuivi par le mafieux éconduit et sa bande. A l’école, le combat des cheffesses semble stagner. Les deux camps doivent changer de stratégie. Ils commencent à s’insulter, espérant ainsi déstabiliser l’adversaire. Les filles s’insultent sur leurs complexes. La coiffure, la taille des seins, les petites tricheries de coquetteries. Le stratagème semble fonctionner mais les deux camps adoptent la même stratégie…



Franchement, ce vingt-deuxième épisode ne sert à rien. Nous n’avons pas avancé d’un iotas dans cette histoire qui commence vraiment à sombrer dans le débile à tel point que même l’humour a de plus en plus tendance à faire flop. Le graphisme en général est à la hauteur mais parfois, certains détails ou certains visages contrariés trempe dans la caricature d’être humain. L’aventure que vit en parallèle le proviseur est complétement inutile. Ce manga est réputé être un Ecchi mais certains mangas qui ont la réputations d’être des shojô ou des seinen peuvent être vraiment moins sages Ici, les garçons sont de gros débiles qui ne savent absolument pas gérer la mixité, ce qui ne sert pas la cause de l’égalité des sexes. Les filles, jusque là habituées à être scolarisée sans garçons, on toutes l’air de souffrir du syndrome de misandrie. D’ailleurs, nous savons que les deux présidentes auraient des tendances homosexuelles et que c’est juste une bonne raison de détester les éléments mâles. Il faut dire que ceux qui sont dans leur école sortent vraiment su panier de crabes et ne sont pas vraiment représentatifs de la gente masculine. Je vais attendre l’épisode vingt-trois pour, j’espère, connaître enfin l’issue de cette monstrueuse et cruelle compétition. J’espère que cette série ne compte pas encore une dizaine d’épisodes ou même plus car il faudrait vraiment qu’elle trouve une issue. Il ne faut pas oublié qu’au départ, Kiyoshi a eu un coup de foudre pour Chiyo Kurihara, la petite sœur de Mari, la présidente du conseil clandestin des élèves. Hana Midorikawa, la secrétaire du conseil clandestin, douée pour les arts martiaux, est particulièrement cruelle avec Kiyoshi mais elle ne semble pas non plus insensible à ses charmes. Peut-être que même Mari, malgré son aversion pour les mecs, pourrait tomber amoureuse de lui. La ligne romantique est pour le moment brisée, on ne sait pas qui des deux onze ils est le plus réel et méchant ni quel sont leur but ultime. Les autres garçons, plus crétins que la moyenne, malgré quelques sentiments éprouvées pour une fille ou l’autre, croient dur comme fer que si le conseil clandestin gagne, ils auront le droit d’assister à un concours de miss t-shirt mouillé. C’est là leur seule motivation. Bref, je commence à prendre mon temps en lisant cette série mais je suis partagé de savoir ce que va devenir notre héros à la fin et aussi l’école, le proviseur et les conseils d’élèves. Lu en version numérique téléchargée sur Amazon, en format KINDLE avec une magnifique numérisation.



Personnages :



Le lycée : Lycée privé Hachimistu. Avant, c’était un lycée réservé aux filles. Il est devenu mixte depuis cette année scolaire, ce qui a bouleversé les mœurs de l’établissement et être le départ de ce manga.



Les garçons :



Kiyoshi Fushino : sans doute le héros principal et le moins benêt des garçons. Il a eu un coup de foudre pour Chiyo Kurihara. Maladroit, il croit souvent bien faire mais les filles du conseil clandestin condamne, malgré ses efforts, tous les garçons simplement parce qu’ils sont des garçons.



Gakuto : de son vrai nom Takehito Morokusu. C’est le stratège du groupe des garçons, quoique plutôt looser. Il a l’esprit d’équipe au point de se sacrifier pour aider ses camarades. Il est passionné d’histoire à tel point qu’il parle comme dans les temps anciens.



Shingo Wakamoto : il est le rebelle du groupe. Il n’hésite pas par amour ou par intérêt, même juste par gourmandise, de trahir ses camarades masculins.



André : de son vrai nom Reiji Ando. C’est une montagne de chair. Un colosse mais qui est masochiste au point de se soumettre pas plaisir à toutes les tortures imposées par les filles. Il perd régulièrement la raison quand il est en manque de punition. C’est le membre ingérable du groupe.



Jô : Jôji Nezu. C’est le plus secret des garçons du groupe. Il ne quitte jamais sa capuche. Il est amoureux d’une jeune fille, Mistuko, passionnée de bibliothèque comme lui.



Les filles du conseil clandestin d’élève :



C’est le conseil d’élève qui dirige de main de fer la discipline du lycée. Le lycée était réservé aux filles. Il y a une prison à l’intérieur où le conseil peut envoyer les élèves qui ne respectent pas le règlement imposé par le dit conseil.



Mari Kurihara : présidente du conseil clandestin des élèves. C’est la fille du proviseur. C’est un véritable despote. Elle dirige de main de fer le conseil, demande à ses amies une rigoureuse discipline. Elle prend vraiment tous les individus de sexe masculins, même son père, pour des pervers. Elle peut se montrer très cruelle. Elle doit souffrir de misandrie.



Meiko Shiraki : vice-présidente du conseil d’élève clandestin. Elle peut se montrer cruelle, intraitable et complètement inféodé à Mari. Après, à son tour, d’avoir vécu de mauvais traitements, elle retombe dans les complexes de son enfance et devient fragile et profondément perturbée.



Hana Midorikawa : secrétaire du conseil clandestin. Elle semble amoureuse de Kiyoshi. Elle est obsédée ou complexée par l’urine. C’est aussi un maître en art martiaux qui n’hésite pas à corriger ses adversaires.



Anzu Yokoyama : membre du conseil clandestin. Personnage secondaire. Amoureuse mais jalouse au point de s’en éloigné de Shingo.



Filles du conseil des élèves :



C’est le conseil des élèves officiels. Il est concurrent avec le conseil clandestin, essayant de légitimer sa raison d’être par rapport à au conseil clandestin.



Keito Takenomiya : présidente du conseil des élèves. >En compétition avec Mari, présidente du conseil clandestin. Elle est amoureuse de Mari, au point d’être cruelle avec elle. Elle est assez fourbe et est aussi la cause de la régression de Meiko.



Risa Bettô : vice-présidente du conseil d’élève. Adepte du kendo mas aussi de SM. Elle aime être dominatrice et elle a soumis André, après beaucoup d’efforts et de travail.



Mistuko Yokoyama : secrétaire du conseil des élèves. Passionnée de bibliothèque et sans doute amoureuse de Shingo, qui, comme elle, aime les livres. Elle est très maladroite, ce qui la met toujours dans des situations délicates dans lesquelles elle montre inconsciemment sa culotte.



Autre personnages récurrents :



Chiyo Kurihara : camarade de classe de Kiyoshi. Elle est aussi la petite sœur de Mari, la présidente du conseil clandestin des élèves et la fille du proviseur du lycée Hachimistu. C’’et une jeune fille équilibrée qui supporte difficilement la cruauté et les exactions de sa grande sœur. Elle pourrait être amoureuse de Kiyoshi.



Satô : surnommée miss gâteau. Elle est la star du lycée car elle a l’étoffe d’une idole.



Le proviseur : père de Mari et Chiyo Kurihara, il est l’autorité suprême de l’académie. Mais sa fille aînée, Mari, profite de lui pour abuser de ses pouvoirs. Il est obsédé par les jolis culs et ne parle qu’en faisant des jeux de mots liés au sexe.





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Prison School, tome 21

Le proviseur est toujours perdu et amnésique. Il est accompagné du jeune femme qu’il appelle darling et panse que cette dernière est sa maîtresse. En fait, c’est une jeune femme qu’il a rencontré par hasard dans la forêt. Elle est fiancée à une espèce de Yakuza qui la recherche avec ses hommes. Malgré tout, la fille est jolie et le proviseur semble en tomber amoureux et s’enfuit avec elle et tente de la protéger de son ancien fiancé. Pendant ce temps, à l’école, la fin du concours s’annonce et il ne reste que l’ultime épreuve, le concours de la cavalerie humaine. Au moment de se lancer, le problème est de rendre la personnalité de la vice-présidente. Ils y arrivent temporairement quand ils la dope avec du soda. Le concours va commencer mais la présidente et les garçons se retrouvent pratiquement seuls contre l’ensemble du lycée. Au début su concours, quand Meiko retrouve son air normal, toutes les adversaires reculent et malgré l’infériorité numérique, le groupe des garçons et du conseil clandestin semblent avancer vers une victoire. Mais Meiko ne sait plus absorber de soda, elle en a trop avalé et retrouve son air dépressif. La victoire semble compromise et il faut une nouvelle solution pour continuer d’avancer contre tous ces adversaires. Mari, la présidente, trouve en Kiyoshi l’arme fatale. Il suffit qu’on remarque que sous son short, il est en érection…



L’humour est toujours aussi trash et déjanté. Nous ne sommes pas loin de la lobotomie action avec ce manga grivois au scénario débile. Mais j’avoue que le tome s’arrête toujours avant la chute et que j’ai encore envie de connaître la suite. J’espère juste qu’il ne sera pas interminable et que cette série s’arrêtera bientôt car je ne pense pas que je tiendrai encore une dizaine de tomes comme celui-ci. Il y a tout de même une petite romance, bien qu’elle soit compromise et chaque opus. En parallèle, l’aventure qui arrive au proviseur, père de Mari, perdu en string avec une jolie femme sexy poursuivie par des Yakuza. On peut se demander où nous conduis cette histoire qui ressemble à une autre histoire imbriquée dans le scénario. Bref, avec ce manga, cet Ecchi, vous ne risqué pas de vous brûler trop de neurones. Les garçons sont toujours des obsédé débiles qui voient les filles comme des sexes sur patte. A croire aussi que toutes les filles du lycée déteste la gente mâle et sont des êtes particulièrement sadiques. Tout est construit sur des clichés. Tout est construit sue la gauloiserie mais l’auteur se garde bien de déraper et tomber dans la pornographie. Bref, un manga qui ne nous mène nulle part mais je crois que je vais encore me forcer à lire le prochain tome. Lu en numérique avec une très belle numérisation KINDLE.



Personnages :



Le lycée : Lycée privé Hachimistu. Avant, c’était un lycée réservé aux filles. Il est devenu mixte depuis cette année scolaire, ce qui a bouleversé les mœurs de l’établissement et être le départ de ce manga.



Les garçons :



Kiyoshi Fushino : sans doute le héros principal et le moins benêt des garçons. Il a eu un coup de foudre pour Chiyo Kurihara. Maladroit, il croit souvent bien faire mais les filles du conseil clandestin condamne, malgré ses efforts, tous les garçons simplement parce qu’ils sont des garçons.



Gakuto : de son vrai nom Takehito Morokusu. C’est le stratège du groupe des garçons, quoique plutôt looser. Il a l’esprit d’équipe au point de se sacrifier pour aider ses camarades. Il est passionné d’histoire à tel point qu’il parle comme dans les temps anciens.



Shingo Wakamoto : il est le rebelle du groupe. Il n’hésite pas par amour ou par intérêt, même juste par gourmandise, de trahir ses camarades masculins.



André : de son vrai nom Reiji Ando. C’est une montagne de chair. Un colosse mais qui est masochiste au point de se soumettre pas plaisir à toutes les tortures imposées par les filles. Il perd régulièrement la raison quand il est en manque de punition. C’est le membre ingérable du groupe.



Jô : Jôji Nezu. C’est le plus secret des garçons du groupe. Il ne quitte jamais sa capuche. Il est amoureux d’une jeune fille, Mistuko, passionnée de bibliothèque comme lui.



Les filles du conseil clandestin d’élève :



C’est le conseil d’élève qui dirige de main de fer la discipline du lycée. Le lycée était réservé aux filles. Il y a une prison à l’intérieur où le conseil peut envoyer les élèves qui ne respectent pas le règlement imposé par le dit conseil.



Mari Kurihara : présidente du conseil clandestin des élèves. C’est la fille du proviseur. C’est un véritable despote. Elle dirige de main de fer le conseil, demande à ses amies une rigoureuse discipline. Elle prend vraiment tous les individus de sexe masculins, même son père, pour des pervers. Elle peut se montrer très cruelle. Elle doit souffrir de misandrie.



Meiko Shiraki : vice-présidente du conseil d’élève clandestin. Elle peut se montrer cruelle, intraitable et complètement inféodé à Mari. Après, à son tour, d’avoir vécu de mauvais traitements, elle retombe dans les complexes de son enfance et devient fragile et profondément perturbée.



Hana Midorikawa : secrétaire du conseil clandestin. Elle semble amoureuse de Kiyoshi. Elle est obsédée ou complexée par l’urine. C’est aussi un maître en art martiaux qui n’hésite pas à corriger ses adversaires.



Anzu Yokoyama : membre du conseil clandestin. Personnage secondaire. Amoureuse mais jalouse au point de s’en éloigné de Shingo.



Filles du conseil des élèves :



C’est le conseil des élèves officiels. Il est concurrent avec le conseil clandestin, essayant de légitimer sa raison d’être par rapport à au conseil clandestin.



Keito Takenomiya : présidente du conseil des élèves. >En compétition avec Mari, présidente du conseil clandestin. Elle est amoureuse de Mari, au point d’être cruelle avec elle. Elle est assez fourbe et est aussi la cause de la régression de Meiko.



Risa Bettô : vice-présidente du conseil d’élève. Adepte du kendo mas aussi de SM. Elle aime être dominatrice et elle a soumis André, après beaucoup d’efforts et de travail.



Mistuko Yokoyama : secrétaire du conseil des élèves. Passionnée de bibliothèque et sans doute amoureuse de Shingo, qui, comme elle, aime les livres. Elle est très maladroite, ce qui la met toujours dans des situations délicates dans lesquelles elle montre inconsciemment sa culotte.



Autre personnages récurrents :



Chiyo Kurihara : camarade de classe de Kiyoshi. Elle est aussi la petite sœur de Mari, la présidente du conseil clandestin des élèves et la fille du proviseur du lycée Hachimistu. C’’et une jeune fille équilibrée qui supporte difficilement la cruauté et les exactions de sa grande sœur. Elle pourrait être amoureuse de Kiyoshi.



Satô : surnommée miss gâteau. Elle est la star du lycée car elle a l’étoffe d’une idole.



Le proviseur : père de Mari et Chiyo Kurihara, il est l’autorité suprême de l’académie. Mais sa fille aînée, Mari, profite de lui pour abuser de ses pouvoirs. Il est obsédé par les jolis culs et ne parle qu’en faisant des jeux de mots liés au sexe.





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Prison school, tome 1

Parfois, l’appréciation d’un titre se joue à pas grand chose. L’an passé, j’ai testé par pur hasard, l’anime Prison School qui est disponible sur Crunchyroll. Je ne savais pas du tout à quoi je m’engageais, et j’ai trouvé ça tellement idiot, que j’ai tenu seulement deux épisodes. J’ai donc tiré un trait sur l’anime, et sur le manga. Et puis, depuis quelques semaines, je vois passer plusieurs de mes contacts sur les réseaux sociaux, qui au milieux de bons titres que je connais, achètent Prison School. Alors, je me suis dit qu’il ne fallait pas rester sur une mauvaise impression, et que le manga était sans doute mieux que l’anime.



Et voilà comment je me suis retrouvé à acheter le premier tome de Prison School. Durant ma lecture j’ai fait abstraction de mon expérience avec l’anime et je suis donc parti sans aprioris. Et là, j’ai vraiment aimé cette lecture. C’est délirant, complètement barré, c’est du pur WTF, mais c’est super bien fichu. Il ne faut pas prendre ce titre au sérieux. Les personnages sont délirants, les situations sont tirés par les cheveux, mais ça fonctionne. C’est bête, simple, mais efficace.



Pire, je trouve que le personnage principal est attachant, car sur la bande des 5 garçons que l’on suit, c’est le plus normal. Je me suis surpris à avoir de la compassion pour lui qui subit les punitions pour les frasques de ses camarades.



Mais les filles ne sont pas en restes non plus, entre le conseil clandestin des élèves, les filles normales, et la direction de l’internat, on a une vraie palette de personnages assez hétéroclite et apportant chacun sa pierre à l’édifice dans cette école complètement loufoque.



Le titre s’appelle Prison School, je ne vous spolierez donc rien en vous disant que nos 5 garçons vont être tels des prisonniers, avec des travaux d’intérêt à faire, des tenues de bagnards à porter etc… J’ai trouvé l’idée de la prison au centre même de l’école vraiment bien pensée, car certains vont chercher à bien se comporter pour avoir un peu de liberté, tandis que d’autres vont tout faire pour se faire punir encore et encore pour revoir leurs magnifiques geôliers. Seul Kiyoshi se comportera plus ou moins normalement avec par exemple l’idée de s’évader.



Je vous parlais à l’instant des geôliers, qui sont en fait le Conseil Clandestin composé uniquement de filles et qui en plus d’être ultra sexy, sont dominatrices. Il y a beaucoup de situations cocasses et absurdes dans lesquelles certains de nos prisonniers vont aimer être dominés, alors que d’autre trouveront cela trop humiliant.



Les dessins d’ailleurs servent parfaitement bien les courbes féminines, les angles de vues et les tenus vestimentaires sont faites pour nous mettre dans la peau de l’un de ces cinq garçons et que l’on ai envie de se rincer l’œil. Là aussi, comme dans l’histoire, il ne faut pas y voir autre chose que de l’absurde. Si vous prenez ce titre au sérieux, cela ne vous plaira pas. Il faut le prendre pour ce qu’il est, du fun, du sexy, et beaucoup, mais vraiment beaucoup de WTF.



Je pense qu’une fois que j’aurais avancé dans quelques tomes, je regarderais la saison 1 sur Crunchyroll, maintenant que je sais à quoi m’attendre, cela devrait me faire bien marrer ^^


Lien : https://chezxander.wordpress..
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Prison school, tome 1

Soleil propose quelques titres durant le confinement et me voilà à cliquer au hasard parmi les 8 manga (un seul a été lu à mon actif hors opération confinement). Je me lance dans cette série que j'avais déjà vu disponible en anime et qui m'avait déjà semblé bizarre. Limite limite. En réalité, en lisant ce tome d'introduction, il comporte des qualités d'humour, de folie et de sexy. Du WTF contrôlé ! Le lycée est devenu mixte mais n'a pas du tout compris la définition de la parité et oui, 1 gars pour 200 filles. C'est sûr, les 5 garçons du lycée, plus loufoques les uns que les autres hormis le héros, sont au paradis. Mais nous le savons, nous petits lecteurs, que le paradis peut rapidement devenir un enfer. Un conseil clandestin -dominateur- gouverne cet univers féminin et assure l'ordre de contrer toutes relations possibles entre les 2 sexes. Les garçons vont se retrouver ainsi emprisonnés dans l'enceinte de l'école suite à leurs désirs libidineux de voir les filles nues dans leurs vestiaires. C'est clair, Prison School fait dans du ecchi humoristique et m'a surprise par sa pérennité (28 tomes au total ?!), donc une découverte originale grâce à Soleil Manga, merci!
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Prison school, tome 3

Voilà !! Statistiquement, je préfère les mangas aux romans ;) sans doute parce que je suis plus sensible aux dessins, moi qui ne sais pas les faire, contrairement aux écrits. J'en ai un peu assez d'enchainer les mauvais livres! Pour parler du contenu du manga: La "Présidente" a une expression sur le visage terrible... Et elle contrôle les corbeaux, apparemment x). Elle met la pression sur la vice-présidente, pour qu'elle corrige le groupe des garçons. Certaines filles ont des poitrines qui défient la logique x). J'étais pas allé aussi loin lorsque j'ai regardé le début de l'animé! Gros "retournement" de situation à la fin.;)... Ma foi, je commence à accrocher et je ferais bientôt la suite;...
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Prison school, tome 1

Ce manga n'était vraiment pas fait pour moi. Je l'ai trouvé vulgaire et putassier. L'image des hommes comme des femmes y est terrible. C'est bourré de mauvais clichés. Le coup de crayon a beau être travaillé, il est gâché par les choix graphiques faits : gros plans sur les poitrines et autres organes génitaux des personnages en permanence. L'histoire, elle, tient sur un timbre poste. Je n'ai rien trouvé à sauver.
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Raw Hero, tome 1

Alors, je vous avoue que je ne m’attendais absolument pas à ça lorsque j’ai lu ce manga. En lisant le résumé je m’attendais à quelque chose bien particulier. Mais finalement c’est tout autre chose! Mais je vous rassure, j’ai été surprise dans le bon sens. Ce premier tome fut une excellente découverte. J’ai passé un moment plus qu’agréable et surtout, j’ai énormément ris. Sincèrement, j’ai rarement autant ris devant un manga. C’était excellent, il me tarde d’avoir la suite entre les mains! Pour moi, ce premier tome est une grande réussite et nous promet une série palpitante.



On va se retrouver dans un monde où certaines personnes naissent avec des super-pouvoirs et les mettent à disposition de la justice. Nous allons suivre le personnage de Chiaki, un jeune homme qui doit subvenir aux besoins de ses frères dont il a la charge suite au décès de ses parents. Pauvre et résigné, il prendrait n’importe quel boulot qu’on lui propose. Alors qu’il se rend à un énième entretien d’embauche, il surprend un homme en train d’agresser sexuellement une jeune femme dans le métro. Il aimerait intervenir mais si il intervient il peut dire au revoir à son entretien d’embauche, or il a absolument besoin de ce travail. Mais il finit tout de même par intervenir. Cette décision, il aura eu raison de la prendre puisque l’agresseur en personne lui propose un travail hyper bien payé! C’est une nouvelle aventure qui s’offre à lui désormais…



Une des choses que je retiens de ce premier tome c’est que c’était tellement drôle! Au début, j’ai eu beaucoup de peine pour Chiaki. Il s’occupe de ses deux frères seuls et doit subvenir à leurs besoins. Mais sans travail c’es très compliqué. Leurs histoires est vraiment touchante. Mais lorsque l’agresseur qu’il arrête dans le métro lui propose un travail hyper bien payé, là les choses deviennent plus intéressantes. Le pauvre Chiaki se retrouve dans une situation pour le moins dérangeante lors de son entretien pour son nouveau travail. Le pire c’est que de base ce n’était pas censé se passer de cette manière. Mais alors pour nous, lecteurs, c’est un moment particulièrement épique qui m’a fait mourir de rire littéralement. Je ne peux pas trop vous en dire sinon je vais devoir vous spoiler mais vraiment le moment de son entretien m’a fait partir en fou rire.



Ce premier tome est très prometteur. Je sens que l’on ne vas pas s’ennuyer le moins du monde avec cette nouvelle série. L’histoire est pleine d’humour, les personnages sont attachants et la suite est intrigante. Je me demande ce qu’il va se passer par la suite. Surtout lorsque l’on voit la fin de ce premier tome, une fin haletante qui donne envie de se jeter sur la suite immédiatement! J’ai beaucoup trop hâte de découvrir la second tome! Raw Hero est vraiment une excellente découverte pour moi!
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Raw Hero, tome 3

Dans le 3e tome de cette série en cours, une série Wtf bien sympathique, les choses se calment (un peu) dans Raw Hero 3 et on retrouve quelques normalités des mangas, à savoir, les relations hommes/femmes et la timidité. Akira Hiramoto, cependant, devient plus intéressant que le simple divertissement apparent en faisant d’une de ses personnages une mangaka, une autrice de manga.





Se faisant, ça permet à Akira Hiramoto de parler de son métier, de ce que l’industrie en à fait. Paradoxalement, il est en plein dans ce qu’il critique. Le « fan service », ces scènes insérées, à vocation purement voyeuristes, qui plaisent probablement à un certain public. Dans Raw Hero, l’auteur va très loin avec des cadrages très en contre-plongées qui basculent sous les jupes, montrent les plis des culottes (quand il y en a), la sueur (très abondante). J’ai mis une double page qui m’a fait beaucoup rire.



Raw Hero 3 reste Wtf avec son personnage à tête d’éléphant, son héros travesti pour les besoins de la mission, un chef de service secret obsédé, etc.
Lien : http://livrepoche.fr/raw-her..
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Raw Hero, tome 1

J’élargis encore un peu le spectre de mes lectures avec un manga, ceux du genre sans fin au format poche. Ça tombe sur Raw Hero d’Akira Hiramoto, un manga Wtf, ce que je cherchais.



Je dis Wtf car l’exagération du scénario est sans limite. Dans ce 1er tome, le héros se sent obliger d’accepter un travail pour sauver ses frères de la misère. Pour l’instant, ça va, sauf que le gars qui l’embauche à un comportement douteux (là, on entre dans uns spécificité toute japonaise, les encarts érotiques) et dès sa première mission, un quiproquo improbable oblige le héros à se déguiser en femme. Mais ça va plus loin, forcement.



Raw Hero ne me semble pas une oeuvre majeure mais c’est pas ce qu’on demande à Akira Hiramoto. Non, juste un manga sans prise de tête. On verra bien ce que donne la suite.
Lien : http://livrepoche.fr/raw-her..
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Raw Hero, tome 1

Sachant que c'est Akira Hiramoto, le créateur du subversif "Prison School", qui était à l'origine de "Raw Hero", je m'étais préparée psychologiquement à ce que je pouvais lire. Mais je ne m'attendais absolument pas à ça ! Ca n'a aucun sens, dès le premier chapitre on se retrouve avec des scènes qui frôlent le hentai, mais c'est tellement absurde qu'on en rit. Cependant, ça n'empêche pas d'être mal à l'aise à plusieurs reprises.

Chiaki a tout du looser. Au chômage, il est incapable de décrocher un emploi et ne revoit absolument pas à la baisse ses ambitions, ne serait-ce que pour avoir de l'argent pour acheter à manger. Après le décès de ses parents, il quitte le foyer familial pour une raison inconnue et emmène avec lui ses deux petits frères, décidant de prendre leur vie en main. C'est un échec bien entendu et lorsqu'il se rendait à un nouvel entretien, il gâche tout afin de venir en aide à une demoiselle en train de se faire tripoter. Malheureusement pour lui, rien n'est tel qu'il croyait, il perd son job et l'agresseur lui propose de l'embaucher, chance qu'il finit par accepter mais à quel prix ?

Son nouveau patron est une ordure, et c'est peu dire ! Ce personnage est tout simplement à vomir, bien qu'il amène la touche absurde de l'histoire pour le moment Il aide autant qu'il met des bâtons dans les roues de Chiaki. Bien heureusement, ce dernier a les sourires de son petit frère pour lui remonter le moral.

Ce premier tome est avant tout une introduction dans un univers intrigant et intéressant où des personnes avec des supers pouvoirs font la loi, aussi bien positivement que négativement. Des terroristes, des héros, des espions, pas mal de choses donne envie d'en savoir davantage, mais les scènes ouvertement sexuelles en grand nombre peuvent être un frein et surtout la raison pour laquelle ce n'est pas une série à mettre entre toutes les mains.
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Prison school, tome 1

Attention danger ! Cinq jeunes garçons sont plongés dans un internat à la mixité récente : 1021 élèves dont 1016 jeunes filles. Ça va chauffer pour nos ados qui vont découvrir la dure loi qui régit cet établissement d’élite ! Teasing décomplexé et humour décalé pour cette nouvelle série d’Akira Hiramoto, l’auteur de Me and the Devil Blues.
Lien : http://www.actuabd.com/Priso..
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