Sa décision d’en finir ainsi en entraînant les siens, alors que chacun craignait de perdre la vie dans les bombardements qui s’intensifiaient, m’avait paru singulière. Sa vision de la mort comme une solution à ses problèmes me choquait. Que sa passion pour sa maîtresse ait été si forte que la vie avec sa femme lui ait paru insupportable me semblait stupéfiant. Ce choix, compréhensible en temps de paix, ne l’était pas quand l’existence même des familles était menacée.