- J’ai des frissons rien que d’y penser, ma chérie. Mais on n’est pas des voleurs.
- Je ne vois pas la différence…
- Les voleurs volent parce qu’ils veulent quelque chose. Nous, on vole parce qu’on en a besoin.
On est coincés ici, à regarder la situation empirer et à attendre attendre. Pendant ce temps, les loups se rapprochent et à la fin, tout ce que je peux faire, c’est rien du tout.