- Ne me plains pas trop, Pierre ; que veux-tu, on s'habitue à tout. Je suis résigné maintenant à mon homosexualité ; on ne peut pas passer sa vie à pleurer sur sa mauvaise vue ou sur sa jambe trop courte ; on apprend à vivre avec son mal. D'ailleurs, dans cet amour-là comme dans l'autre il y a des joies ; le tout est d'accepter bravement sa destinée.