L’art émerveille, prétendait-il. Il permet la rencontre entre celui qui voit le tableau et ce que celui-ci donne à voir. La rencontre et l’apparition : « Les seuls événements qui puissent m’occuper » confessait Klimt.
« L’art bénit et sauve » affirmait-il encore.
Et Le Baiser ne veut rien dire d’autre.