Je me suis tu depuis un an et huit mois, ce qui ne signifia pas que j’ai cessé d’agir. J’ai été et je suis partisan d’une Algérie juste, où les deux populations doivent vivre en paix et dans l’égalité. J’ai dit et répété qu’il fallait faire justice au peuple algérien et lui accorder un régime pleinement démocratique jusqu’à ce que la haine de part et d’autre soit devenue telle qu’il n’appartient plus à un intellectuel d’intervenir, ses déclarations risquant d’aggraver la terreur.