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4.07/5 (sur 7 notes)

Nationalité : États-Unis
Biographie :

Aleatha Romig est un auteur de best-sellerd' USA Today du New York Times. Elle a grandi à Mishawaka, est diplômée de l’Université d’Indiana et vit actuellement au sud d’Indianapolis. Avec son amie de lycée et son mari depuis plus de trente ans, ils ont élevé trois enfants. Avant de devenir une auteure à plein temps, elle a travaillé comme hygiéniste dentaire et a passé ses nuits à écrire.

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Citations et extraits (25) Voir plus Ajouter une citation
Elle me rappelait que la façon de vivre des Montague n’était rien d’autre qu’un spectacle, une vitrine à présenter au monde extérieur. Chaque fois que j’étais obligée d’assister à un événement public ou de faire quelque chose que je ne voulais pas faire, elle me remontait le moral en me rappelant que tout ceci n’était qu’un cirque. C’était un réconfort. Je pouvais faire tout ce que j’étais censée faire tant que je me rappelais qui j’étais vraiment. Elle me disait que la beauté extérieure n’était pas aussi importante que la beauté intérieure. Et elle ne manquait jamais de souligner à quel point elle me trouvait belle.
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Tu es très belle et, dans cette tenue, tu es renversante. Écoute-moi. Je sais qu’il y a des histoires dont tu ne m’as jamais parlé et ça ne me regarde pas. Ces histoires concernent Alex, ou peut-être Alexandria, je ne sais pas. Ce soir, sois Charli. Sois audacieuse, drôle, et réalise tes fantasmes.
» Combien de fois un homme torride a-t-il débarqué dans ta vie sans aucune implication sur ton avenir?
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Pour le dire simplement, je te trouve attirante, très attirante, vraiment. Tu t’exprimes bien, tu es vive, j’aime ça. Crois-moi, quand je décide qu’une femme est mienne, je tiens bon. Mais si on instaure comme règle de base que l’on ne doit rien attendre de plus de la semaine qui vient, je peux le faire.
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Sa poitrine n’était pas seulement musclée, elle était sculptée, et je me rappelais vaguement ses cheveux foncés et sa barbe naissante. À présent, la peau me picotait en repensant au toucher de cette dernière. C’était si réel que j’avais l’impression de l’avoir sentie sur mes parties les plus intimes.
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Et peu importait qu’on fût au vingt et unième siècle : il n’avait aucune prise sur les aristocrates. Ceci était et serait toujours le monde où les apparences l’emportaient sur tout le reste. Les secrets qui assombrissaient les couloirs et les pas de porte resteraient à jamais tus.
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J’avais eu beau me dire sur tous les tons que je n’étais plus cette enfant prisonnière derrière le portail en fer, que j’étais une femme compétente, récemment diplômée avec les félicitations du jury, la petite voix enfantine dans ma tête répétait ce mantra que je connaissais depuis toujours : certaines choses ne changent jamais. Plus j’approchais de l’immense demeure, plus j’étais tendue, mes années de distance face à celle-ci s’effilochaient tandis que mon assurance menaçait de se dissoudre.
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Je suppose que si l’on avait creusé un peu, on aurait facilement découvert mon passé, mais personne n’avait besoin de faire ça. Le cabinet d’avocats de mes grands-parents prenait en charge tous mes besoins financiers. Même en cet instant, alors que je montais vers les hauteurs du Club et Spa Del Mar dans l’ascenseur vitré, seul le cabinet d’avocats Hamilton et Porter savait où je me trouvais. C’étaient eux qui m’avaient viré de quoi faire notre excursion, pas ma mère ni son mari.
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Mes pensées et mes émotions étaient trop embrouillées pour les décrire avec des mots. Il s’était passé trop de choses, et trop rapidement. Mon cœur voulait ce que Pat et Cy partageaient. Je ne voulais pas penser à la façon dont ils s’étaient rencontrés ni à celle dont Nox et moi nous étions retrouvés. Je voulais penser au conte de fées, à la manière qu’avaient Patrick et Cy de se regarder et à mon ventre qui se contractait au simple souvenir du regard de Nox.
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Ce n’était pas le sourire sexy, menaçant, que j’avais appris à adorer. Il était différent, à moins que ce ne soit ses yeux. Le bleu pâle était glacial, dénué de tourbillons bleu marine, dénué d’émotions. Le calcul et la détermination brillaient dans son regard qui m’évaluait et me scrutait à la recherche de points faibles, de secrets. J’avais déjà vu ce genre de regard. J’avais passé toute ma vie avec.
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Je me rappelai son regard et la façon dont ses yeux s’illuminaient de cette lueur menaçante. Je me rappelai son eau de toilette, l’odeur boisée qui dominait mes sens et son toucher, autoritaire et pourtant si passionné. Je me mordis les lèvres pour arrêter les sons qui menaçaient de s’en échapper.
Tout ceci constituait mon fantasme, mes rêves, et ils étaient sur le point de se concrétiser.
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