Étrangement, des tréfonds de mon imagination (Katia) rejaillit le premier mouvement de la neuvième symphonie d'Anton Dvorak que jouait Madame Jeanne, la doyenne de notre village. Elle avait été une ancienne pianiste professionnelle. Et alors, que sous mes yeux s'affaissaient leurs carcasses en « slow-motion », étrangement mon esprit mêlait la beauté indéfinissable de la musique classique aux affres des combats dans une sorte de scénographie funèbre.