Après toutes ces années, je pense que cette pause à La Réunion nous remonta le moral. Cela nous remonta le moral. Cela nous a offert une raison de continuer à nous battre. Nous refusions d'abandonner... nous avions fait serment de protéger notre pays et nos concitoyens et tant qu'il y aurait un seul Français en vie, peu importe où il vivait, nous devions faire en sorte de le protéger, quitte à lancer nous-mêmes une attaque nucléaire sur ce qui les menaceraient.