Il s’ensuit que ma situation ne peut pas être comparée à celle des gens habitant les pauvres cabanes que j’ai remarquées en Sibérie. Ceux-ci ne les ont pas élues par goût ou ne s’y sont pas réfugiés, temporairement, dans des circonstances exceptionnelles. Elles constituent un foyer permanent où, dans beaucoup de cas, toute leur vie s’écoulera et, comme telles, on peut, avec raison, les déclarer « franchement misérables ».