Elle la somma de contempler le cheval blanc qui déambulait dans la clairière :
— Regarde-le, n’est-il pas splendide, mon Pégase ? N’est-il pas magnifique parce qu’il ne ressemble à aucun autre ? Sans ses ailes ne serait-il pas qu’un animal des plus ordinaires ? Eh bien, tu es comme lui : un Pégase parmi les humains. Ne tente plus de dissimuler tes ailes, laisse-les se déployer.