Donc, je prenais le train et j'allais à Senta. Il me semblait qu'y flottait encore dans l'air, dans l'agitation du monde, quelque chose de l'élan de mes uniques succès, en travail et en amour. Il me semblait qu'y frémissait encore le présage mystérieux d'une rencontre, d'un indice, du retour possible de la pleine révélation de soi dont le souvenir me torturait.