donc ici on vend le rêve
donc c'est ainsi qu'il s'achève
Malheur à nous qui pensons au temps. Mais ensuite avec la croissance de cette incompréhension, il deviendra clair pour toi et pour moi qu'il n'y a ni malheur, ni nous, ni pensons, ni temps.
A quoi bon continuer, pourrait-on croire, quand tout le monde est mort, à quoi bon continuer. C'est clair pour chacun. Mais n'oublie pas que ce ne sont pas trois hommes qui agissent. Pas eux qui sont dans un carrosse, qui débattent, qui sont assis sur le toit. Ce sont peut-être trois lions, trois tapirs, trois cigognes, trois lettres, trois chiffres. Que nous fait leur mort, et leur mort pour eux à quoi bon.