Adieu, Marianne, je te rends ta liberté. Je te laisse filer au gré des flots, pars vite, pars loin. Je t'en prie, va hanter quelqu'un d'autre que moi. Quelqu'un qui n'aurait pas voulu te rencontrer, te connaître et te perdre, tout cela en moins de temps qu'il ne faut pour le dire. Quelqu'un qui n'en aurait rien eu à foutre de croiser une fille comme toi, peau blanche, cheveux noirs, lèvres carmin.