Je sais que c’est difficile à croire. Je pense que l’une des choses les plus difficiles dans le fait d’être retenu prisonnier était d’essayer de comprendre que le cauchemar était bien réel. Que l’homme était vraiment sérieux et qu’il croyait qu’il agissait tel le bras de Dieu. Il était impossible de le raisonner. Il n’y avait aucun moyen que je puisse le menacer, le corrompre ou même essayer de plaider en faveur de ma libération.