C'est en 2013 que j'ai appris l'existence de cette lettre de détresse trouvée dans un article de Kmart par la presse américaine. Sun Yi n'était pas le premier à envoyer un message depuis un goulag chinois, mais le fait qu'il ait été un dissident religieux emprisonné pour ses convictions et son militantisme, et non un criminel violent, rendait cette missive plus difficile à oublier.