Dans l'aria de l'opéra Griselda [...] Vivaldi fait un parallèle entre la mer agitée et les émotions de la fille de Griselda, Constanza, prise dans un dilemme entre l'amour et le devoir.
Dans la période baroque, il était fréquent de comparer l'état émotif d'un personnage à un phénomène naturel pouvant être illustré par la musique. Ce procédé s'appelle "simile aria".