Après le cha, nous
retournions nous allonger, reprenions notre lecture, et de ces pages
surgissaient des villes, des châteaux, des bois, des lacs et la mer. La
mer que je n'avais encore jamais vue. Aujourd'hui encore, rien que de
lire ce mot, le parfum du thé, ou plutôt du cha, me revient.