Fils de Charles Barjonet, officier note 1, il s'engage dans la résistance communiste pendant la Seconde Guerre mondiale. Il milite ensuite à la CGT. Il occupe de 1946 à 1968 le poste de secrétaire du Centre d'études économiques et sociales de la CGT, parallèlement à son activité au parti communiste.
En 1968, il s'oppose aux accords de Grenelle. Anti-stalinien, déjà ébranlé par la répression de Budapest en 1956, il quitte le PC et la CGT en mai 1968 ainsi que le Conseil économique et socialnote 2. Il publie alors La Révolution trahie. Il rejoint le PSU dont il intègre le bureau national.
Il a également été enseignant au Celsa, membre de la Commission supérieure des conventions collectives et de la Commission des comptes de la Nation.
Il se retire de la vie politique aux débuts des années 1980.