Cela reste comme l'enseignement de Baudelaire, et de Rimbaud, que la poésie conquiert des territoires où l'homme ne s'était pas aventuré. Prétendre, ainsi que l'a dit Adorno, qu'il serait impossible d'écrire de la poésie après Auschwitz, c'est nier à la fois cet enseignement et, de cette poésie, le premier titre de gloire : pour elle, il n'y a pas d'indicible.