La nuit tomba ; j'étais couché sur le gazon, aux pieds nus de Denise: ma main rencontra sa cheville que j'enveloppai doucement sans qu'elle protestât. Il y avait derrière nous des seringas dont je sens encore le parfum très fort. On voyait les étoiles à travers les branches.Je n'abandonnai pas ses orteils qu'elle me laissa, heureuse, indiférente.