Que je sois face à un patient en souffrance ou à un détenu, je me dois de faire abstraction de mes pensées, de mon système de valeurs, de mes représentations inconscientes… et de mes problèmes personnels. Dit de cette façon, ça peut paraitre simple. On enferme tout dans un tiroir le temps de l’entretien et on récupère ses affaires en sortant. Pourtant, la réalité est bien plus complexe.