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Citations de Ann Aguirre (175)


L’instinct le plus pressant chez la plupart des êtres est celui de la survie. Pourtant de temps à autres, L’humanité produit des pépites rares, capables de sacrifice
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Ils étaient en train d'achever le dernier Monstre. J'admirai la noirceur de Del et l'éclat des cheveux de Bandit. A la fois violents et majestueux, ils se complétaient parfaitement...comme la lune et le ciel noir.
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Il était une fois une sorcière qui désirait tout connaître. Mais, plus une sorcière sait des choses, plus elle se cogne fort la tête quand elle rencontre un mur. Elle se nommait Watho et elle avait un loup dans l'esprit. Elle n'était pas cruelle par nature : c'était le loup qui la rendait cruelle.
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J'en conclus qu'il était dangereux d'aimer. Cela ne pouvait mener qu'à la souffrance. Mais je savais aussi qu'une vie sans amour n'en valait pas la peine.
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"Voilà ce qui me faisait peur avec l'amour. Il était sublime mais traître. Comme la neige. Si pure et si jolie vue de la fenêtre, mais glaciale et mortelle une fois dehors." p278
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_Est-ce que tu as une hache?
_ Bien sûr. Je ne vais nulle part sans elle.
_ Alors au travail! lançai-je à mes hommes. L'ennemi peut rappliquer d'une minute à l'autre. A nous de l'accueillir comme il se doit.
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"Je serai toujours là pour toi. Et pas seulement quand les choses sont faciles. Tout le temps."
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- Je sais que tu es une Chasseuse, reprit-il. Il est clair que tu ne vis que pour ça.
- Alors, où est le problème ?
- Je n’aime pas partager.
Ça, je pouvais le comprendre. Cela me fit penser à ma massue. Celle que mon ami Sable m’avait fabriquée. Je l’avais prêtée à Tegan, et elle ne me l’avait toujours pas rendue. Rien que d’y penser, j’en eus un pincement au cœur… Je comprenais donc Del dans le sens où, moi aussi, j’avais du mal à partager ce qui m’appartenait. Mais Del n’avait pas l’air de parler de choses matérielles. C’était plus subtil, et j’avais du mal à le suivre.
- Partager quoi ? demandai-je.
- Toi, répondit-il.
Décidément, les garçons étaient bien plus compliqués que je ne le pensais ! Charmants, certes, mais compliqués.
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Pour être pris au sérieux, il ne fallait pas montrer sa fragilité aux autres.
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Ce n’était pas la première fois que quelqu’un me sous-estimait. Et, qui sait… Peut-être la surprendrais-je ? — Marché conclu, dis-je en lui tendant la main. Elle la serra trop fort, probablement pour m’humilier davantage. Heureusement, Bandit m’avait appris à me sortir de ce genre de situation : je fis pivoter son bras, et elle s’effondra à genoux. — Promettez-moi que vous tiendrez parole, lançai-je en la regardant de haut. — Je te le promets, bredouilla-t-elle. Je la relâchai avant de lui faire mal. Elle ne me regarderait plus jamais de la même manière. Désormais, le colonel me prendrait au sérieux. Je n’étais pas un pion. Ni une jeune fille. Je rangeai mon couteau dans son fourreau et lui offris mon plus beau sourire
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_ Et si tu restais? murmura Pearl. Oh! J'aimerais tellement que tu t'installes ici, avec moi... Je suis sûre que ton père t'aurait interdit de me laisser seule!
Il y avait quelque chose qui ne sonnait pas juste, chez elle. Je ne la sentais pas du tout. Et, cette fois-ci, ce n'était pas de la jalousie. On aurait dit que la solitude l'avait rendue un peu folle...
_ Tu t'en es très bien sortie jusqu'à aujourd'hui, remarqua Del. Et je ne peux pas rester, Trèfle a besoin de moi.
Je serrais les dents. Je ne voulais pas de sa pitié! Avec Tegan à mes côtés et mes talents de Chasseuse, je m'en sortirais très bien.
_ Je n'ai fais que survivre! enchaîna-t-elle. ça ne veut pas dire que je vais bien! Je me sens tellement seule, Semyon...
_ Ne m'appelle pas comme ça! rétorqua-t-il. Semyon est mort. Je ne suis plus le même à présent. Et, pour ce qui est de Trèfle, je n'ai pas été assez clair: je refuse de vivre sans elle!
Mon cœur fit un bond dans ma poitrine.
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_ Del, l'interrompis-je. Merci de m'avoir attendue. C'était vraiment risqué.
Il toucha ma joue avec tendresse:
_ Je serais toujours là pour toi, Trèfle. Et pas seulement quand les choses sont faciles. Tout le temps.
Un frisson me parcourut des pieds à la tête. Tout à coup, je me fichais que personne n'aime Del et que personne ne m'accepte à cause de lui. C'était un coéquipier parfait. Beaucoup de Chasseurs auraient suivi les ordres à la lettre et m'aurait abandonnée. Pas lui.
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- Les gens cherchent toujours des explications à tout, reprit-il. Et, lorsqu’ils ne trouvent pas de réponse, ils les inventent. Pour certains, une fausse explication vaut mieux que rien.
- Je préférerais connaître la vérité, murmurai-je. Même si elle est horrible.
-Parce que tu es courageuse et honnête, Trèfle.
- Et toi ?
- J’essai de l’être.
Il prit mon visage entre ses mains et m’embrassa. cela me fit oublier toute la conversation. Sa bouche avait le goût du cidre qu’il avait bu au dîner et il avait les lèvres chaudes. Il caressa mon dos et me serra de plus en plus fort contre lui. Je passai ma main sur sa joue puis la glissai dans ses cheveux. Une chaleur de plus en plus intense s’empara de moi… Je me retins même de lui grimper dessus ! Lorsque nos bouches se séparèrent, Del tremblaient comme s’il avait de la fièvre. Inquiète, je posai ma main sur son front.
- Je ne suis pas malade, rigola-t-il. Tu n’as pas conscience de ton charme, Trèfle.
Mon charme ? Je ne savais même pas que j’en avais…
C’est sûrement à cause de la robe, pensai-je.
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― Le simple fait de t'imaginer avec quelqu'un d'autre me rend malade.
― C'est parce que je suis à toi, murmura-t-il avec tendresse. Et que tu es à moi.
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- Parfois, murmura t’il, je suis à deux doigts de te haïr. Tu ne comprends pas à quel point tu comptes pour moi, solnyshko moyo.
- Qu’est ce que ça veut dire ? Demandai-je accablée par la fatigue et la colère.
- C’était la langue de mon père. Il disait souvent ça à ma mère. Solnyshko moyo. Mon soleil.
Del posa son front contre le mien et ferma les yeux un instant.
- À chaque fois que Bandit t’appelait colombe, j’avais envie de lui mettre mon poing dans la figure. Tu n’es pas un petit oiseau gris, Trèfle. Tu es la plus belle lumière du monde.
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Je sombrais dans un sommeil hanté par des chuchotements.
Ne m'abandonne pas, Trèfle. J'ai besoin de toi. J'aimerais que ça redevienne comme avant... Avant que les autres ne nous rejoignent. Je n'ai jamais su comment te le dire, mais...
On aurait dit Del, mais je n'avais jamais entendu une telle émotion dans sa voix. Et est-ce qu'il venait vraiment de me dire...
Je t'aime ?
Non, j'étais en train de rêver...
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Tout mène à l'exil, pensai-je. J'en prenais conscience, peu à peu. Dans mon esprit, l'enclave était en train de devenir une prison.
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La moindre seconde que tu passes à te battre t'ôte l'énergie dont tu auras besoin plus tard.
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Quand l’ennemi propose de discuter, l’idiot refuse le dialogue.
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- Qu'est-ce qui fait que tu te sens à l'aise quelque part ?
- Toi, murmura-t-il.
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