Enfin, elle avait osé. Elle avait exécuté docilement, dans une sorte de semi-brouillard, tous les gestes qu’on attendait d’elle, poussée par une force qui la dépassait. Cette violence intime, qu’elle sentait toujours en elle, et qui la poussait à plier sous la volonté de Thierry, avait fini par la vaincre. (page 150)