Le coeur humain est comme le caoutchouc : un faible effort l'allonge, un grand ne le rompt pas. Si un peu plus que rien peut le troubler, il ne faut guère moins que tout pour le briser. Comme les membres extérieurs de notre corps, il a un pouvoir vital inhérent à lui, qui le fortifie contre la violence externe. Chaque coup qui le frappe sert à l'endurcir contre un coup futur.(p156)