Elle se retrouve exposée sous son vrai visage, sans masque (pour ainsi dire !), tel le roi nu de la fable d'Andersen auquel faisait déjà allusion Simon Leys en 1971 dans "Les habits neufs du président Mao". Cinquante ans après la parution de ce livre prophétique, allons-nous continuer à accorder un quelconque crédit aux constructions fantasmatiques du "rêve chinois" ?