D’abord il y avait cette moiteur étouffante, puis ces parfums entêtants, puis ces immenses plantes luxuriantes qui semblaient pousser sur rien et conquérir l’immense plafond de la serre. on croyait entré dans une espèce de gigantesque cathédrale végétal, pleine de couleurs, de formes, de lianes, d’odeurs et d’humidité