Anne Fornier (1978 Annecy, Haute-Savoie) humaniste, géographe et volcanologue française.
Elle a rencontré Haroun Tazieff, célèbre volcanologue français, qui a éveillé son intérêt pour les volcans.
Elle a étudié la géographie physique et l’analyse des risques volcaniques à l’Institut de Géographie de l’Université de Lyon, où elle a obtenu le Master dans la discipline académique de la géophysique en 2001. Elle a été l’élève du climatologue Marcel Leroux, directeur du Laboratoire de Climatologie, Risques et Environnement, auprès duquel elle a appris sa théorie sur la dynamique du temps et du climat.
Après avoir obtenu son diplôme de guide scientifique auprès de Terra Incógnita, une agence française de voyages culturels, elle a voyagé en Inde, au Pakistan, en Éthiopie et au Vanuatu, profitant de l’occasion pour étudier ces volcans et les étudier.
Sa première expérience et son premier contact avec les communautés locales qui vivaient dans les zones volcaniques lui ont donné l’impulsion en 2002 pour fonder l’ONG « Peuples et Volcans du Monde », axée sur la gestion des risques et l’impact des pluies acides sur la population civile.
En 2016 elle crée l’agence de voyage Volcanic Travel / Volcanes Emotions, une agence de voyage spécialisée dans les zones volcaniques sous la proposition de différents voyages pour découvrir les volcans et leur écosystème : « On parle de plaques tectoniques, de courants de convection, de cartographie, de géologie, de lithosphère, d’éruptions…. C’est l’union entre le monde qui ne s’est jamais arrêtée depuis la préhistoire jusqu’à aujourd’hui. Non seulement nous proposons un voyage, mais nous commençons une nouvelle vision du monde.
En 2018, elle a fondé la fondation Volcano Active.
En réalité, je découvre, sans le savoir, ce qu'est la résilience, ce phénomène qui consiste à se reconstruire une vie acceptable après un échec ou un traumatisme.
Non, ceux que je condamne, ce sont les états-notamment occidentaux-qui laissent faire, comme certaines ONG qui ne racontent pas toujours l'envers du décor.
Il faut le dire : avec notre puissance, nous sommes capables d'endiguer la famine. Mais non, on ne le veut pas. Car une fois passées les opérations de communication politique, on laisse toujours les imbéciles, les mêmes milices reprendre le contrôle du terrain.