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Citation de Souri7


[...] Usés par la peur, la froidure et l’horreur ambiante, certains hommes cédaient à la panique et laissaient leurs mains dépasser du parapet afin d’être la cible d’un tireur isolé. Un membre estropié leur valait un « retour au pays » et on les renvoyait dans leurs foyers. Mais toute blessure délibérée était considérée comme un acte de lâcheté face à l’ennemi. C’était la cour martiale assurée, voire la peine de mort.[...]
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