Le mieux passe parfois par un sacré choc (ou un coup de pouce), un choc qui se prolonge, qui s’insinue douloureusement, qui s’installe au fin fond des entrailles bien remplies, qui brûle, crame, anéantit toute vie intérieure – même les orbites se sont vidées de leurs deux grains de popcorn trop cuits, immangeables.