Ce qui manque le plus c'et cette ponctuation du vivre que permettait la cigarette. Pose, césure, parenthèse, retour à la ligne ou changement de paragraphe. Le temps de prendre son souffle, d'aspirer intimement la tangible et râpeuse fumée, et on pouvait croire une fraction de seconde qu'on allait être là, accordé à l'instant, habité, traversé de présence.