Moi, je n'aime pas ces histoires de migrations, qui se ressemblent comme deux gouttes d'eau. Elles me dérangent, inutilement. Le monde bouge, et ce depuis longtemps, au rythme de l'injustice et des déplacements, et les humains sont partout les mêmes, à quelques détails près. Il y a ceux qui dominent et ceux qui sont dominés.
« Africain » n’était pas une couleur de peau ; c’était bien plus qu’une carnation : c’était une vibration vitale, une main prête à secourir, un rire sans masque, un cœur dansant à l’unisson du monde et de ses humeurs variées, de ses lunes, de ses soleils, de ses spasmes, de ses flots tranquilles, de ses carapaces et éclipses.
https://youtu.be/035vRSAyy5w?si=9T7Dd1oQW5quFWRE