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Citations de Ariel Holzl (236)


Le chagrin était un poison lent et inexorable.
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- Les vieilles habitudes ont la vie dure, constata Alys.
Livianne acquiesça.
- J’espérais que nous avions grandi… Mais nous avons seulement vieilli.
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- Les phénomènes dont vous m’avez parlé relevaient du Bas Art, continue-t-il.
- Du bazar ? répète Ivy, perplexe.
Tybalt s’esclaffe.
- Un vrai foutoir, en effet ! De l’Art mineur, si vous préférez.
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- L’Histoire n’est inutile que pour ceux qu’elle contredit, riposte Ivy.
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Il avait aussi dessiné au crâne une fine moustache noire avec un morceau de charbon. Mais pas de sourcils. Parce que ça, ça aurait été vraiment trop bizarre.
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Les humains ne sont pas très à l'aise avec la magie quand ils ont les yeux ouverts.
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[...] la parole de la royauté, d'après lui, ça a autant de valeur qu'une allumette dans une mine de soufre.
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_ On cherche quoi, Grand-Père ?
_ Une dague de sacrifice !
_ Vraiment ? C'est juste un couteau, non ? maugréa Fingus.
_ Pas n'importe quel couteau, voyons ! La dague sacrificielle est un outil indispensable à tout seigneur du mal.
Et on la trouve où ?
_ Là où se passent tous les sacrifices !
_ Y a une cuisine dans l'église ?
_ Probablement pas ! Quoique, connaissant Larry... Cherche plutôt du côté de l'autel !
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On ne peut pas tout avoir, ni au jeu de l'amour ni à celui du pouvoir. Alors les deux...
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- Vous croyez que Paris existe toujours ? Et Tokyo ? Et la Floride ? demanda Yvette, les yeux brillants.
Sam haussa un sourcil.
- Je rêve, ou tu cites que des endroits avec un parc Disney ?
- Chacun ses priorités ! se défendit son amie.
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- Ta magie t’appartient, Polly. Fais-en usage comme bon te semble. Mais souviens-toi qu’une mauvaise influence est parfois subtile : on peut accomplir de bonnes choses pour de mauvaises raisons. On peut se retrouver à faire le mal sans même s’en rendre compte.
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Aujourd’hui, j’ai aidé l’Homme Bleu à retrouver sa famille. Enfin, juste sa femme. Mais ce n’était pas vraiment sa femme. Sa femme, c’est la Reine. Elle, il ne voulait pas la voir.
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—Vous êtes sans cœur... C'est ce qui vous rend si efficace. (Il tire un paquet froissé de sa poche.) Cigarette ?
Elle tend une main distraite vers le paquet, mais il le referme aussitôt.
—Article 76b, miss Honeypot : "Il est interdit aux agents de la Couronne de consommer du tabac, de l'alcool, des potions de trouble-vue, des élixirs de mollesse et toute autre substance stupéfiante pendant qu'ils assurent la conduire d'un véhicule mandaté." (Il s'allume ensuite une cigarette, d'une flammèche au bout de son ongle.) Je crains que vous ne deviez vous contenter du doux parfum de ma fumée jusqu'à Calais !
—Étouffez-vous avec, milord.
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S’ensuivit une échauffourée inscrite sous le matricule « Incident 4752 » dans les archives administratives de la police royale. Les survivants, quant à eux, préféraient s’en souvenir comme « Quinze minutes d’un foutoir sans nom ».
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- Vous êtes MES filles. JE vous ai portées, JE vous ai nourries, JE vous ai donné tout mon amour. Cela fait de vous des sœurs ! Pas des demi-sœurs, pas des quarts de sœurs, pas des cousines… Des sœurs !
En voyant ses filles recroquevillées l’une contre l’autre, la voix de Lady Carmine s’était adoucie :
- Il en sera toujours ainsi, mes belles. Alors, battez-vous, disputez-vous, criez-vous dessus ; faites-vous tout le mal du monde… Mais n’oubliez jamais que vous êtes des sœurs, et qu’il n’y a que deux choses sur lesquelles vous pourrez toujours compter : la grisaille du ciel, et votre famille. Compris ?
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Ne croyez pas les conteurs. Livianne Palumbre ne pouvait pas parler aux ombres.
Seulement les entendre.
Ne croyez pas non plus les chroniques : le jour où elle connut sa seconde éclipse était tout à fait insignifiant. Pas de ciel couleur de sang, ni de tremblement de terre ou de présages portés par le vent. Un jour ordinaire. Un jour à chasser le miasme.
Livianne sortit à l’aube. Encapuchonnée de velours blanc, sa silhouette menue quitta sa demeure d’un pas incertain.
Là encore, les légendes se trompent. Elle n’habitait pas une colonne d’ivoire perdue dans les sables de Tahiril ni un palais de glace éternelle au cœur de Fridgard, mais dans un ancien silo à grain. Le baron de Morne-Bourg le lui avait gracieusement offert trois ans plus tôt. L’étendue de sa générosité s’était ensuite limitée à en chasser tous les rats. Il avait pris l’attribution de l’éclipsienne à sa baronnie comme un reproche. Puis, comme un affront, quand il avait su quel était son pouvoir.
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- Les étoiles des pentagrammes ont combien de branches, déjà ? Quatre ou six ?
- Cinq, voyons ! C'est dans leur nom ! Tu n'es pas censé être bon en maths ?
- Oh. Comme un pentagone à cinq côtés, approuva-t-il. Je n'avais jamais fait le rapprochement !
Polly roula des yeux au ciel.
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D'autres soutenaient que la Reine avait trouvé le taux de mortalité de ses sujets préoccupant...pour les finances du royaume. Elle souhaitait donc qu'ils restent vivants un peu plus longtemps pour payer un peu plus d'impôts.
En revanche, tout le monde connaissait les méthodes de ses agents avec précision. Et pour cause : nobles, bourgeois ou gueux des bas-fonds, le meurtre était le passe-temps favori à Grisaille.
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_ Un apprenti nécromancien doit s'habituer au froid. Crois-tu que les mausolées et les cryptes ont le chauffage central ? Bien sûr que non. Une fois j'ai dû aller au cœur d'un glacier pour réanimer le cadavre d'un mammouth. Il gelait si fort que trois de mes orteils se sont cassés comme du verre. Heureusement, j'ai pu les recoudre. Un villageois de Bedlam m'a gentiment offert les siens. Je n'ai même pas eu besoin de brûler sa ferme.
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La Basse-Ville concentrait dans ses ruelles toute l'insalubrité de Grisaille. Il y grouillait aussi des fléaux qui n'avaient pas grand-chose à voir avec l'hygiène : es cas fulgurants de couteau-dans-l'oeil, des épidémies de garrottages, des éviscérations éclair, des migraines très contagieuses à soigner au gourdin...
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