Pleurer est devenu une activité quotidienne et banale, comme de boire, manger, pisser, dormir. Je pleurais parce que dans mes rêves tout était comme avant et qu’au réveil, je m’apercevais brutalement que rien n’était plus comme avant, je découvrais que tu m’avais salement largué, que tu avais quitté Paris à cause de moi, de nous. Je me jurais de ne plus jamais m’endormir parce que la nuit t’envoie des images des odeurs des paradis et bam : tu te réveilles et plus rien. Dommage pour ta gueule si tu y as cru.