La petite musique du compteur s’affolait. Elle ne
s’arrêtait plus pareille aux battements de mon cœur.
Tanya pleurait en silence dans mon dos.
Elle répétait à l’infini que tout était de sa faute.
Mais comme nous l’avions décidé, pour Anton, pour
Émilie, nous ne bougerions pas.
Nous ramènerions ce putain de sac à dos.