" Naso di cane" paru en Italie en 1982
C'est l'histoire blafarde,harcelante, féroce, de ce banditisme pervers de la camorra industrialisée des années 70 avec ses nombreux cadavres ,
dans une Naples vaste et glaçante, dépourvue de tout pittoresque, dans laquelle se meut, comme un limier, Le commissaire Corrado Apicella.
Mais dans cette sinistre atmosphère des bas-fonds, de temps en temps intervient le moment , d'autant plus émouvant qu'il est inattendu, de l'amour.
J'ai eu quelques difficultés à entrer dans l'histoire: manque de concentration et confusion concernant le rôle de chacun des personnages, sa position dans la hiérarchie mafieuse...Mais une fois clarifiée la situation, j'ai continué jusqu'au point final.
Nez de chien, tueur à gages non émotif et très jeune, n'est pas antipathique du tout!!
Le second volet: "L'amie de nos amis" m'attend sur mon bureau.
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" L'action se situe dans un New-York très coloré. L'auteur y met en scène des immigrés et fils d'immigrés italiens (de Sicile et de Campanie), irlandais, grecs,écossais, anglais, allemands, sud-américains, etc...parmi lesquels il introduit quatre Napolitains tout juste débarqués: le camorriste Ammirato, sa femme et son ennemi juré, Salvatore Palestra, ainsi que le héros, le commissaire Apicella"
note de la traductrice. p.11
Car cette histoire qui est la suite de "Nez de chien" nous rend le commissaire de la Brigade Mobile de Naples engagé dans le dangereux devoir de mettre en déroute le noyau de malfrats adhérents de la Camorra.
Apicella a été transféré à New-York à sa requête sur les traces d'Achille Ammirato, seigneur incontesté du marché de la drogue qui a "émigré" aux Etats-Unis pour trouver de nouveaux débouchés à ses trafics.
Le commissaire Apicella tombe dans une ville labyrinthe qui, comme un jeu de boîtes chinoises, contient mille réalités et réserve mille pièges;
La trame est bien construite. Cependant, j'au préféré "Nez de chien".
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