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3.6/5 (sur 50 notes)

Nationalité : France
Biographie :

Azdyne Amimour, d'origine algérienne kabyle, est le père de Samy Amimour (1987-2015), un terroriste islamiste.

Polyglotte et féru de littérature française, il quitte le foyer lorsque Samy est encore enfant, mais la famille reste en lien. Azdyne Amimour a exercé plusieurs métiers, dans le commerce, le sport ou le cinéma notamment dans l'import-export entre la France et la Belgique.

C'est en septembre 2013 que son fils part rejoindre les rangs de l'État Islamique (Daech) en Syrie. Azdyne lui rend brièvement visite en juin 2014 en Syrie, avec pour espoir de le faire quitter les rangs de l'EI, mais sans succès.

Samy Amimour parvient à revenir en France sans se faire repérer par les autorités. Le 13 novembre 2015, il participe, avec deux complices, à la tuerie du Bataclan, qui a causé la mort de 90 personnes. Il est le premier terroriste à être neutralisé par les forces de l'ordre.

En 2020, Azdyne Amimour publier un livre intitulé "Il nous reste les mots" avec Georges Salines dont la fille Lola, 28 ans, a été tuée au Bataclan.

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Lundi, nous sommes revenus sur l'affligeant meeting d'Éric Zemmour à Villepinte. Notre journaliste Célia Mebroukine a tenté de comprendre qui sont les femmes qui soutiennent le candidat, malgré les accusations de violences sexuelles qui pèsent sur lui. Nous avons également reçu Sylia, militante de SOS Racisme agressée lors du meeting de Villepinte. Retour également sur les révélations « Congo hold-up », avec Justine Brabant et Yann Philippin. Mardi, Fabien Roussel, candidat du Parti communiste français à l'élection présidentielle était face à la rédaction de Mediapart. Reportage de Sarah Brethes et Nassim Gomri, qui ont suivi les proches des exilé·es disparu·es de Calais après le naufrage du 24 novembre. Mercredi, Cécile Duflot, directrice générale d'Oxfam France, était sur notre plateau, pour nous présenter en exclusivité le manifeste de l'ONG pour une fiscalité juste à l'intention des candidates et candidats à l'élection présidentielle. Enfin, jeudi, reportage avec Azdyne Amimour, père de Samy Amimour, terroriste du Bataclan, en amont de son témoignage au procès du 13-Novembre. Puis entretien avec le chercheur Benoît Trépied, spécialiste de la Nouvelle-Calédonie. Rendez-vous la semaine prochaine, à 19 heures et en direct. 10 mois pour 10 € : du lundi 29 novembre au dimanche 5 décembre, abonnez-vous au seul quotidien en ligne 100 % indépendant qui ne vit que du soutient de ses lecteurs ! https://abo.mediapart.fr/abonnement/offre-speciale#at_medium=custom7&at_campaign=1050 Vous connaissez notre émission À l'air libre ? Votre avis nous intéresse https://mdpt.fr/39yQZsn Abonnez-vous à Mediapart : https://www.mediapart.fr/abonnement#at_medium=custom7&at_campaign=1050 Abonnez-vous à la chaîne YouTube de Mediapart : https://www.youtube.com/user/mediapart

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Citations et extraits (11) Voir plus Ajouter une citation
Ceux qui ont commis ces horreurs n'ont pas servi l'islam ; bien au contraire, ils l'ont souillé.

[p197]
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Ce n'est pas avec un musulman que je discute, c'est avec Azdyne Amimour. Azdyne n'est pas plus réductible à son "statut" de musulman que je ne le suis à mon statut d'athée aux racines chrétiennes. Nous sommes avant tout deux pères ayant chacun perdu leur enfant, deux amoureux des voyages et de la culture, deux natifs des bords de la Méditerranée, deux êtres humains.

[p21]
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Pour que je me pose la question de savoir si je pardonne, encore faudrait-il que quelqu’un me demande pardon. (P.159)
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Je suis contre le caractère définitif de la peine de mort, qui nous prive d'explications à tous. En quelque sorte, elle place le condamné à l'abri du regard et du jugement de ses victimes. Une fois mort, je perds le pouvoir de lui pardonner, mais aussi celui de lui refuser mon pardon. La notion de pardon se vide alors de tout sens et il n'y a plus, non plus, aucune possibilité de rédemption.

[p160]
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Bien sûr, la priorité des policiers était d'arrêter le massacre et ils ont dû pour cela abattre les assaillants, je le comprends tout à fait ; mais j'aurais préféré qu'ils soient appréhendés vivants, si cela avait été possible, et condamnés à une longue peine. Je suis contre le caractère définitif de la peine de mort, qui nous prive d'explications à tous. En quelque sorte, elle place le condamné à l'abri du regard et du jugement de ses victimes. Une fois mort, je perds le pouvoir de lui pardonner, mais également celui de lui refuser mon pardon.
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"Le sommeil de la raison engendre des monstres", comme il est écrit sur une gravure de Goya ; il ne faut pas laisser la raison s'endormir et, si nécessaire, il faut la réveiller.

[p157]
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Une fois mort, je perds le pouvoir de lui pardonner, mais aussi celui de lui refuser mon pardon. (P.160)
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L'identité ne peut être uniquement un héritage, elle doit être aussi un gage d'avenir.
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Bien sûr, je suis comme tout le monde ! Mais l'émerveillement que j'éprouve face à l'existence de l'univers, aux mystères de la vie et à ceux de la physique me suffisent à assouvir mes besoins de spiritualité.
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La croyance en un au-delà : la vie, la vraie, est ici. Si elle était meilleure ailleurs, pourquoi serait-on ici ? La logique d'un monde matériel créé par Dieu afin de nous tester m'échappe totalement.
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