Elle qui était arrivée à la politique par une révolte initiale contre le manque de liberté qui lui était accordé en tant que femme, ne parvenait pas à s'identifier au parcours de ce mouvement de femmes. Elle n'éprouvait pas la moindre gratitude à leur égard, se méfiant grandement de la voie qu'elles auraient pu lui indiquer. (..) Tout était déjà apparent dans les choix violents qui avaient creusé un abîme entre elle, la terroriste, et le reste du genre féminin.