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3.01/5 (sur 981 notes)

Nationalité : Royaume-Uni
Né(e) à : Edgbaston , le 09/07/1901
Mort(e) le : 21/05/2000
Biographie :

Fille d’un major tué pendant la première guerre mondiale, Barbara Cartland, de son nom complet Mary Barbara Hamilton Cartland, grandit à Londres avec sa mère, qui tient un magasin de vêtements, et ses deux frères.

A 18 ans elle devient journaliste au Daily Express, en tant que spécialiste des potins, et écrit en 1923 un premier roman, Puzzle, traduit en six langues. Cette chronique amoureuse dans les beaux-quartiers n’est que le début d’une longue série de romans sentimentaux, aux intrigues récurrentes : de chastes jeunes filles rencontrent l’amour et la fortune auprès d’hommes virils qui finissent toujours par les épouser.

La vie personnelle de Barbara Cartland est plus complexe : elle divorce et épouse en 1936 le cousin de son premier mari, McCorquodal, ce qui fera d’elle la grand-mère par alliance de Lady Di.

Contrainte de partir en exil au Canada pendant la Deuxième Guerre mondiale, elle est faite en 1941 commandant junior à titre honorifique du Women's Royal Army Corps, et devient responsable de l'assistance de 20 000 auxiliaires féminines militaires.

Membre du parti conservateur, elle est conseillère municipale pendant neuf ans dans les années 1950, et mène par la suite de virulentes croisades contre l’homosexualité et la pornographie.

Connue pour son excentricité, Lady Cartland vit au Manoir Tudor de Camfield place, près de Londres, et continue à écrire de manière inlassable.

En 1983, elle entre dans le Guinness Book des records pour le nombre de livres vendus, juste derrière la Bible.

Connue pour ses excentricités, son maquillage outrancier et son goût immodéré de la couleur rose, elle laisse derrière elle, au moment de sa mort en 2000, 723 ouvrages et plus d’un milliard de livres vendus à travers le monde.
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Source : /livres.fluctuat.net
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Barbara Cartland
"Apres 40 ans une femme doit choisir entre sa silhouette et son visage. Choisissez le visage et restez
assise !" [ Barbara Cartland ]
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Tout ce que je veux, c’est rester auprès de vous. Peu m’importe de vivre dans un taudis ou même de coucher à la belle étoile, si je suis avec vous. Nous sommes faits l’un pour l’autre… c’est notre destin. Rien ni personne ne peut s’opposer à ce que nous nous appartenions.
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La soumission n'est pas une vertu américaine. Il faut apprendre à sortir ses griffes et à cesser d'avoir peur des autres. Après tout, ils ne sont pas différents de toi. Leur cœur bat. Ils saignent si tu les écorches et, eux aussi, connaissent la peur et l'inquiétude, l'angoisse et l'oppression.
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Sa nature franche la poussait à refuser la seule idée d’être embrassée par quelqu’un pour qui elle n’éprouverait pas de véritable affection. Il était difficile parfois de refréner les ardeurs de ses soupirants subjugués par sa beauté car même sa froideur leur était un défi. Mais Tatika avait fini par apprendre, comme l’avait dit sa belle-mère, à décourager toute tentative de séduction de leur part avant même qu’ils fussent réellement conscient de leur but.

Elle se disait parfois qu’elle avait un don de double vue car dès les premiers regards elle devinait s’ils chercheraient à la séduire ou non. Ce n’était pas seulement la lueur de convoitise qui brillait dans leurs yeux, ni les flatteries qui sous-tendaient leur conversation. Non, il s’agissait d’une sorte d’instinct qui la mettait en garde contre leurs intentions. Elle reculait alors comme l’on recule devant un serpent.

Son plus grand regret était de ne pouvoir fuir cette société de plaisirs vains, de ne pouvoir vivre loin des mondanités telle « une vierge de glace qui refroidit tous ceux qui tentent de l’approcher » avait dit un prétendant dépité.

« Serai-je jamais amoureuse ? » s’était-elle très souvent demandé, désespérée.

Cependant elle était certaine qu’un jour elle rencontrerait celui qu’elle aimerait et qui l’attirerait irrésistiblement. Parfois, le sang russe qui coulait dans ses veines éveillait en elle d’étranges aspirations et des désirs profonds qu’elle était incapable de formuler car elle était trop innocente.

Mais ces désirs étaient là, cachés au fond de son cœur. Ils peuplaient ses rêves et nourrissaient son espoir d’être un jour aimée et d’aimer à son tour. Qu’attendait-elle de son amoureux imaginaire ? Elle l’ignorait. Elle savait seulement qu’elle le rencontrerait et trouverait auprès de lui le bonheur auquel elle aspirait.
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-    Est-ce cela, le coup de foudre, maman ?
-    Oui. Je croyais qu’il s'agissait d’une invention des romanciers... Mais pas du tout! Le coup de foudre existe, je peux en témoigner ! Et je prie tous les jours pour que tu rencontres toi aussi l’homme de ta vie et que tu sois aussi heureuse avec lui que je le suis avec ton père.
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Toute petite déjà, elle avait pu le constater : elle constituait un sujet constant d'irritation pour son père, qui lui en voulait de ne pas être un garçon. Que de fois, seule dans sa chambre, elle avait pleuré à chaudes larmes,se désespérant qu'une bonne fée ne puisse pas,d'un coup de baguette magique, la faire changer de sexe !
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— Et toi, tu es d’une beauté à couper le souffle !
— Malheureusement, la beauté ne fait pas le bonheur...
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Ce serait malhonnête de le cacher. Je ne suis pas commode et je supporte mal la contradiction, je l’avoue. Il m’arrive de me montrer brutal et insupportable. Mais j’ai toujours su que le jour où j’aimerais comme je vous aime, alors, les démons qui m’habitent seraient exorcisés.
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Je hais les mensonges, il faut les éviter à tout prix ! S'il s'agit de sauver la vie ou la réputation de quelqu'un, c'est différent, je considère qu'il s'agit alors de "mensonges blancs".
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Quelle horreur que la guerre ! Non seulement elle extermine les gens,mais encore elle efface l'histoire.
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