C'est comme ça en prison : on n'est jamais content pour autrui. On ne pense qu'à soi. Quand la chance sourit à l'un de nous, on ne le supporte que parce que cela nous rappelle qu'une embellie est encore à espérer. Statistiquement, le bonheur se rapproche un peu plus chaque fois qu'un de nos camarades tire la bonne pioche.