[Arthur] « Quand j’avais ton âge, je croyais pouvoir changer le monde. Je croyais qu’il n’avait besoin que d’honnêteté et de gentillesse. Je croyais que si l’on traitait bien les gens, si on leur apportait la paix, si on leur offrait la justice, ils vous en tiendraient gré. Je pensais pouvoir dissoudre le mal par le bien. […] Je devais croire que les gens réagissaient comme les chiens, reprit-il d’un air piteux, et que si on leur donnait assez d’affection, ils seraient dociles, mais les hommes ne sont pas des chiens, Gwydre, ce sont de loups [...] ».