Les Diables de Loudun
Frapper fort, sans peur de choquer, à l’aide des effets théâtraux les plus impressionnants : l’éloquence dramatique du premier opéra de Krzysztof Penderecki (1969) a peu d’équivalents. Une certaine folie, même, émane de ces trente scènes qui mêlent l’obscénité, la bouffonnerie, la cruauté et les prières.