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Critiques de Bob de Groot (392)
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Clifton - Intégrale, tome 1

Voici le premier tome d’une intégrale qui reprend les aventures d’un héros récurrent du journal Tintin des années 1970 et 1980, le colonel Clifton. Les plus de … enfin d’un certain âge, amateur du périodique se souviendront sans doute du détective amateur, ancien des services secrets, aux belles moustaches et au caractère si typically english.

Ce personnage a, en vérité, été créé une décennie plus tôt, toujours dans Tintin par Raymond Macherot qui était alors et restera longtemps, le roi des BD animalière dont Chlorophylle et Sibylline seront les meilleurs exemples.

Cette intégrale reprend donc les trois aventures imaginées à l’aube des années 1960. Une autre époque pour l’Europe et pour la BD.

Dans le premier épisode, Les enquêtes du colonel Clifton, un gros diamant, le Kohr-I-Door, a été confié à des joailliers londoniens et placé dans un coffre fort inviolable. Mais pendant la nuit, le coffre fort disparaît. Pour éviter une mauvaise publicité, les victimes engagent le colonel Clifton. On découvre donc notre détective, dirigeant un camp scout et acceptant l’affaire dans laquelle, sans traîner, ils se trouvent plongé jusqu’au cou. Il utilise les méthodes de Sherlock Holmes et s’il découvre assez vite les bandits, leur mettre la main dessus va être plus difficile. Les courses poursuites, les pièges se succèdent avec le rythme effréné des BD de l’époque, faite pour donner envie de lire la suite la semaine prochaine dans le même magazine.

La deuxième aventure, Clifton à New York retrouve notre détective chez les Yankees a essayer de sauver un chanteur à la mode, roi du « slurp », style musical très sirupeux. Ce dernier a été enlevé par un ex-dictateur qui veut demander une rançon pour reconquérir le pouvoir. Les bandits sont bêtes et méchants, comme souvent dans les BD de cette époque et le côté comique l’emporte sur l’intrigue assez simple.

Dans la troisième histoire, Clifton et les espions, l’intrigue prend de l’épaisseur avec une histoire de documents secrets volés, d’ancien camarade accusé de collusion avec l’ennemi qui se trouve être, lui aussi une ancienne connaissance du colonel.

Ces trois histoires sont scénarisées et dessinées par Macherot avec talent. Alors bien sûr, lu aujourd’hui, cela fait sourire, mais cela fonctionne toujours avec des yeux d’enfants. Les intrigues sont simples, mais dynamiques et les dessins sont déjà incroyables dans le style des Tintin et des Spirou mais avec dix ans d’avance. Des atmosphères nocturnes ou hivernales sont très bien rendus et l’ambiance so british du début des sixties également.

L’intégrale comprend aussi un quatrième album, Les lutins diaboliques, que j’ai un peu moins apprécié. Il a été réalisé presque dix ans plus tard à l’aube des seventies pour une éventuelle reprise du personnage dans Tintin. L’histoire de Greg est excellente. Un paisible village anglais est victime d’attaques de lutins surnaturels. Tout le monde a peur. Clifton lui même n’en mène pas large, mais saura déjoué la terrible machination qui se cache derrière ces apparitions terrifiantes.

J’ai juste eu un peu plus de mal avec le dessin d’Azara, qui souffre de la comparaison avec Raymond Macherot.

Une intégrale qui fleure donc bien la nostalgie d’une époque révolue. Une autre de ces madeleines de Proust que l’on redécouvre de temps en temps avec beaucoup de plaisir.
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Lucky Luke, tome 18 : Le Bandit manchot

Dernier rattrapage de billet d’avant les vacances : un album de Lucky Luke période post Goscinny.



Même si j’ai l’esprit ouvert, je m’attends systématiquement à du moins bien quand Goscinny n’est pas à l’affiche. La force de l’habitude.

Résultat de la lecture : ben c’est pas mal. Bob de Groot s’en tire même bien, je dirais. Le scénario colle bien aux standards de la série. Le thème est un symbole que chacun associe à l’époque du western ; il s’agit des premières machines à sous bricolées par les frères Caille. On retrouve aussi ces voyages de ville en ville où Luke fait office de garde du corps et de guide. En l’occurrence le périple doit permettre d’estimer l’accueil de ces machines dans les saloons, sentir le marché quoi.

Un accueil toujours mitigé voire franchement hostile au début, suivi par un engouement voire une addiction dès la première pièce. Bref ça a du potentiel.



Les péripéties sont amusantes, surtout celles qui mettent en scène le vrai « méchant de service » à la tête et aux manies de Louis de Funès. Rien que ce personnage fait rire tiens ! Seul écueil à mon avis, un Lucky Luke plus énervé, plus impatient que d’habitude. Il y a une scène où on voit notre héros abandonner alors qu’il tente sans succès de convaincre des clients de saloon de l’écouter. Ça, pour moi, c’est pas du Luke.



L’un dans l’autre et en secouant le tout, l’indicateur étoilé résultant affiche 3.5. Ouais : j’ai passé un bon moment mais je préfère les Goscinny. On se refait pas.

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Lucky Luke, tome 40 : L'artiste peintre

Avec la série d'Astérix, Lucky Luke et sa fidèle monture font partie des incontournables de la bande dessinée francophone.

Avec "L'artiste peintre", la collaboration entre Morris et De Groot promet un savoureux moment d'aventure, de bagarres et d'humour (il s'agit du 40e tome de la saga tout de même !)

Il y est question pour notre cow-boy légendaire d'assurer la protection d' un artiste peintre (Frédéric Remington) dont la corpulence (plus de 100 kg de chaire et d'os) interroge, Lucky Luke semblant tout petit à ses côtés.

Un bon moment de lecture et d'humour, où les bagarres et les consommations d'alcools forts sont légion.
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Léonard, Tome 20 : Ciel, mon génie !



Léonard est un génie, un génie un rien tyrannique, teigneux, coléreux toujours à vociférer, à hurler. C’est le plus souvent contre son « disciple » rêveur, empoté, paresseux, maladroit, malchanceux que se dirige son courroux. Léonard a mille idées à la minute, toujours une invention en cours et une autre sur le feu pendant la suivante est sur le point de surgir.



C’est dans ce cadre plus que propice aux mésaventures et péripéties que nos deux protagonistes nous régalent de leur maladresse et de leur balourdise.



Le disciple va successivement être tailladé, écrasé, tronçonné, percuté, perforé, brulé, dynamité et j’en oublie, tout en se faisant bien sûr enguirlandé pour parachever le tout. Il faut bien dire que dans cet univers où l’on voyage parfois dans le temps, les vols d’enclumes sont légions et atterrissent tous inexorablement sur le crâne de ce pauvre disciple.



Ajouté à cela les remarques pleine de bon sens du chat de la maison toujours à se faufiler entre les cases, plus les quelques clins d’œil aussi bien à la culture pop qu’à l’époque actuelle et vous obtenez un moment de détente sans prise de tête, idéal pour se détendre.



Gags et loufoquerie garantis à chaque page !



Un grand merci à Catwoman qui m’a fait découvrir ce personnage de bande dessiné dont je n’avais pour ainsi dire jamais entendu parler.


Lien : http://bouquins-de-poches-en..
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Lucky Luke, tome 38 : Marcel Dalton

Cet opus des aventures de Lucky Luke est de trés loin l'un des plus controversés et consternant. Certes, Morris et De Groot lancent bien des gags et font appel à des personnages incontournables tels que Rantanplan mais l'effet produit n'est pas à la hauteur. Qui plus est, ce "Marcel Dalton", un banquier suisse, honnête pour un Dalton (!) est investi accompagné de notre cow-boy solitaire d'une mission dont on sait dés le départ qu'elle va être compliquée à réaliser pour ne pas dire purement et simplement échouer.
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Clifton, tome 6 : Panthère pour le colonel

Le Commandant Clifton, agent du MI5, au service de sa Majesté, se voit confié la mission de convoyer un dirigeant d’un pays de l’OPEP de Londres à Zurich, l’opération va s’avérer périlleuse car un coup d’Etat est en cours dans son pays. J’aime bien ce personnage britannique caricatural, colérique et maniaque, bien imaginé par Turk et Degroot, l’histoire est assez plaisante, très rocambolesque, cette série que j’adorais quand j’étais gamin reste tout de même destiné au jeune public des années 70/80, mon engouement est resté planté dans ces années, aujourd’hui j’ai quand même le sentiment que cette lecture n’a rien d’indispensable, y compris pour la nostalgie.
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Lucky Luke, tome 18 : Le Bandit manchot

C’est le deuxième album de l’après Goscinny. Lucky Luke doit escorter deux bricoleurs de génie pour promouvoir leur nouvelle invention dans les villes du Far West, il s’agit de la première machine à sous. On va passer de ville en ville, avec de nombreuses péripéties. L’histoire est très classique, respectueuse du style de René Goscinny, mais sans grande originalité. Bob De Groot est au scénario (Robin Desbois, Léonard). Il y a quelques bonnes idées, comme l’usage de la caricature de Louis de Funès, mais cela manque de rythme et l’humour n’atteint pas des sommets. Sans atteindre la chute vertigineuse de la série Astérix avec le passage entre Astérix chez les Belge et Le grand fossé, Le bandit manchot reste un album assez moyen, pas déplaisant mais loin des meilleurs Lucky Luke.
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Léonard, Tome 38 : Y a-t-il un génie pour sauve..

Enfant, j'étais fan du duo Turk et De Groot, avec Robin Dubois et Clifton. La série Léonard à commencé alors que j'étais déjà plus grand, je ne m'y suis jamais vraiment intéressé, j'en ai lus quelques uns par-ci par-là, sans jamais être enthousiasmé. J'ai trouvé cet album chez moi, sans doute offert à un de mes enfants pour une fête d'anniversaire. Il date de 2008, et ça parle entre autres de réchauffement climatique, audacieux pour une histoire qui se passe aux alentours de 1500, mais c'est très mal exploité, on sort une machine à voyager dans le temps, elle reservira d'ailleurs pour plusieurs autre histoires, c'est la facilité pour parler de thèmes actuels, rien de plus, l'humour est laborieux, un peu de burlesque, du running gag poussif avec le tromblon, je n'ai jamais ri, même pas un sourire, je suis même parfois agacé, l'acharnement sur le souffre-douleur est carrément dérangeant.



Reste le dessin rond et expressif de Turk, il faut reconnaître que pour un jeune public, il est plutôt attirant. Il y a actuellement 54 tomes dans cette série, avec une idée de départ assez limitée - un inventeur et son associé en 1500 - on arrive avec un tome 38 sans intérêt, pour le renouvellement on repassera. J'ai relu un Robin Dubois il y a quelque temps, et le constat est un peu le même, ça ne me fait plus rire. Est-ce que l'humour de De Groot a mal vieilli ? Je ne suis pas loin de le penser. Est-ce que la série Léonard s'essouffle ? Sûrement, et en plus, c'était déjà pas terrible au départ.



Cette série existe depuis 1977, cela fait donc 46 ans de harcèlement professionnel et personne ne semble s'en offusquer. Si on en est à 54 tomes aujourd'hui, c'est qu'elle se vend, alors je le dis franchement, achetez autre chose, il y a largement mieux.

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Robin Dubois, tome 3 : Ça va, chez vous ?

Quand je recevais le journal tintin auquel j'étais abonné dans les années 70, j'aimais commencer par Robin Dubois au dessin agréable, facile à lire, amusant. Ce sont des gags en une page, transposant des préocupations actuelles dans le monde du moyen âge : achat de maison, femme acariâtre, amitié, voisinage... Turk et Degroot ont par la suite arrêté cette série pour se consacrer à la série "Léonard est un génie" à laquelle je n'ai pas accroché autant. En réouvrant ce livre, je constate que les gags ne me font plus autant rire, une question d'âge, sans doute. Il ne reste plus que l'effet "Madeleine de Proust" pour me procurer encore quelques plaisirs.
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Léonard, Tome 38 : Y a-t-il un génie pour sauve..

Force est de constater que ce 38eme tome n’est pas un très bon cru.

La couverture était pourtant alléchante, et je trouvais l’idée de confronter Leonard au défi écologique assez prometteuse.

Malheureusement, l’auteur n’a pas recherché cette cohérence, à part dans le premier gag où Léonard essaie de trouver une solution au réchauffement climatique, et encore, la chute de cette histoire assez longue n’est pas à la hauteur.
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Léonard, tome 29 : Les bons contes font les b..

A la suite d’une bévue (fort inspirée pour une fois) du disciple, Léonard, Raoul et Basile s’engagent dans une aventure haute en couleurs, car il s’agit justement de redonner des couleurs à la petite ville de Vinci à ses habitants les plus connus.



La quête en question fait référence aux contes populaires bien connus et aux coulisses de la bande dessinée. L’histoire est originale à souhait, amusante et distrayante. C’est un grand plaisir de redécouvrir Léonard dans une aventure au grand format.



L’humour doit beaucoup à l’émergence de nouveaux personnages secondaires (dont les nains de Blanche-Grêle qui sont absolument hilarants) et à ce côté caricatural qui n’est pas sans faire penser à un célèbre ogre vert. Les dessins sont à l’unisson dans cette ambiance bon enfant qui nous fait passer un bon moment.



Voici un album qui se lit bien et qui fait une très bonne idée de cadeau : pour les adeptes de bande dessinée, pour les grands enfants, les adeptes de contes, de fantasy… Nous avons droit ici à un grand cru, pas aussi savoureux que le Génie en balade mais qui s’en rapproche. Un temps fort de la série sur lequel il serait dommage de faire l’impasse.
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Léonard, Tome 41 : Génie du stop

Telle une fragile lumière à l'issue d'un long tunnel, Génie du stop redonne un coup de fouet à une série qui est caractérisée - depuis plusieurs albums successifs - par un manque d'inspiration.



L'espoir est permis mais fragile car les mauvaises habitudes ne sont pas abandonnées pour autant. Les coups de tromblon sont toujours aussi nombreux et deviennent même un sujet d'ironie (sauf pour Basile bien entendu). En revanche, de trop nombreuses planches se résument à des onomatopées à la finalité bien connue et fort désagréable pour le Disciple.



L'album est tiré par le haut par les jeux de mots et calembours. Raoul et Bernadette s'en sortent très bien et suscitent une attente de plus en plus grande. Et, miracle (!) plusieurs historiettes sont franchement bien tournées : Self-contrôle, La clef du succès et Au pied de la lettre.



Voici un album sur lequel on pourra s'arrêter. Si le plaisir n'est pas aussi intense que celui ressenti à la lecture des meilleurs crus, nous aurons au moins une explication fondamentale pour la vie de tous les jours : pourquoi les engins de chantier font ils donc autant de bruit ?!
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Léonard, Tome 20 : Ciel, mon génie !

On retrouve dans ce volume, toute la finesse de cette B.D.

On ne sais pas trop qui est vraiment le héros : Léonard ou son disciple ?

Un disciple qui développe un "don" pour la maladresse, la malchance et les accidents. Quand il n'est pas blessé (Découpé en tranches, laminé mécaniquement, etc) il est tyrannisé par Léonard qui ne lui passe rien.



Si on veut réellement apprécier cette B.D. il ne faut pas la lire en diagonale. Il y a toujours un clin d’œil à découvrir.

Il ne faut pas non plus rater les commentaires du chat tigré noir et orange qui apparaît au fil des planches.



Relire Léonard, c'est le genre de plaisir que je m'octroie entre deux pavés plus sérieux et conséquents. Et la B.D. est bien un art...

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4 X 8 = 32 - L'espion caméléon

Bonsoir ! Je suis 4X8=32...! Ce n'est pas mon vrai nom, remarquez !

Je me nomme en réalité Hector. Mais dans mon métier, je suis connu sous ce matricule. Oui, je suis espion !

Je parie que vous êtes étonné de ne pas me voir dans la case !

C'est mon métier qui veut ça. On m'a appris à passer inaperçu. Eh oui !

Je peux aussi bien me transformer en bec de gaz qu'en landau ou en soupe populaire !

Ouille ! je me suis brûlé. Bon sang ! Vous avez vu mon vrai visage.

Hum ! C'est bon. Suivez-moi mais tenez votre langue.

Vous allez assister à une de mes missions...



4X8=32 l'Espion Caméléon

dans :

"L'Impossible Mission"



Aujourd'hui, l'espion caméléon*, déguisé en poubelle, a rendez-vous avec son chef (autrement dit : le vieux) auprès duquel une benne à ordures aménagée l'emmène avec célérité.

Une mission dangereuse l'attend mais le danger ne l'effraie pas !

Alors, en quoi consiste cette mission ?

Une mission ? Quelle mission ?....



Sorte d'inspecteur gadget avant l'heure, l'espion caméléon a le pouvoir de disparaître ou de se transformer. Mais il est gaffeur et ridicule.

Heureusement pour lui et pour le vieux, son chef, ses ennemis ne brillent pas, non plus, par la finesse de leurs plans, ni par l'efficacité de leurs tactiques.

Mais savent-ils eux-même ce qu'ils manigancent ?

Fred raconte les aventures de ce drôle d'espion que dessine De Groot dont on reconnaît déjà la patte et le dessin si particulier.

Cette petite série, apparue dans les pages du journal "Pilote" en 1968, va lui permettre de rencontrer Turk avec qui il reprendra un épisode intitulé "Piano, pianissimo".

Ce duo, si talentueux, créateur de "Robin Dubois" ira jusqu'à réinventer le génie avec les aventures de "Léonard" et de son disciple.

"4X8=32 l'espion caméléon" est une chouette BD que vous ne pourrez croiser qu'au hasard des pages de certains numéros de "Pilote", le journal d'Astérix et Obélix, car la série n'a, malheureusement, jamais fait l'objet d'une parution en album.





*plus connu sous le matricule 4X8, l'espion caméléon habite naturellement au 32.
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Léonard, tome 4 : Hi-Fi génie

Je me souviens avec beaucoup de plaisir de ma soeur qui pleurait de rire en lisant cette BD.

J'étais plus réservée mais je prenais tout de même plaisir, ado, à lire quelques gags de cette série.

Cela ne m'apporte même plus l'ombre d'un sourire.

Je trouve l'humour poussif, lourdement répétitif et finalement c'est surtout la façon dont Léonard arrivera à blesser, mutiler ou briser le disciple qui est la seule dynamique des inventions de Léonard.

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Léonard, tome 4 : Hi-Fi génie

une parodie de Leonard de Vinci riche en surprises et en gags qui devrait séduire les enfants. le scénario accumule les clins d'oeil et les gags. pour toute la famille 👪.
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Léonard, tome 39 : Loué soit le génie

Loué soit le génie... du moins encore faut-il en trouver car ce trente-neuvième album en manque cruellement. Cette bande dessinée au rabais est orientée sur des gags de type cartoon, à l'image des nombreux sévices infligés de manière répétée et prévisible à un disciple qui suscite plus l'exaspération que la compassion.



Vouloir réserver cette bande dessinée aux enfants n'est pas une excuse. Certaines notions évoquées ici sont assez complexes : maladie d’Alzheimer, le fonctionnement des agences immobilières.



Quelques gags valent le coup d'oeil, notamment Le pacha et Loué soit le génie mais dans l'ensemble ceux-ci sont assez rares. L'album nous montre un Léonard en petite forme et qui se fait voler la vedette à plusieurs reprises. Cette nouveauté est toutefois bienvenue.



Les dessins sont toujours aussi bons : chaleureux, rondouillards, en un mot : confortables. Autre point fort de cette bande dessinée : les jeux des mots et des acteurs de second plan (notamment Raoul) fortement motivés. Heureusement, car la catastrophe n'aura pas été loin...



Une déception donc, à n'acheter que pour compléter une série ou à réserver aux fans (ou à la rigueur aux proches étant récemment passés entre les mains d'une agence immobilière).
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Léonard, tome 1 : Léonard est un génie

Les trois premiers tomes, de la série de bande dessinée "Léonard", m'ont laissé sur ma faim. Ils ne sont pas mauvais ; mais je suis resté plutôt mitigé.

Les bandes dessinées, de la série "Léonard", souffre à mes yeux, de gags peu originaux, et même banals, et souvent poussifs. J'ai trouvé l'humour plutôt plat, et je n'ai pas rit.

Néanmoins, j'ai apprécié les personnages haut en couleurs, de Léonard et de Basile, et le couple qu'il forme, avec leurs relations, si particulières.

Les auteurs sont parfois plutôt inventifs, et il faut admettre qu'il y a amélioration, au fur et à mesure, des tomes.

Néanmoins, je conserve, des trois premières aventures, du personnage de Léonard, un souvenir mitigé.
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Léonard, tome 46 : Le génie crève l'écran

Cela faisait longtemps que je n'avais pas lu de Léonard, mais une visite au Clos Lucé m'a donné envie de recommencer.

Les gags se ressemblent toujours un peu, mais c'est quand même drôle.

Dans ce tome 46 intitulé Le génie crève l'écran, Léonard invente la télé 3D sans lunettes et un robot appelé Sylvester.

On y apprend également que Bernadette (la souris) a un cousin d'Amérique.

Enfin, le personnage de Mathurine contribue largement au comique des histoires (ce qui nous change un peu des réveils difficiles du disciple et des coups de tromblon de Léonard).
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Léonard, tome 10 : La Guerre des génies

Déjà violent que les autres tome sont violent , celui-ci est méga violent! Mais il y a beaucoup de blague aussi. Ce livre va faire rouler les cerveaux!
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