...le poète Bondy me disait que la vraie poésie doit faire mal, comme si on avait oublié une lame de rasoir dans son mouchoir et qu'on se coupe le nez en se mouchant, parce qu'un bon livre n'est pas fait pour endormir le lecteur mais pour qu'il saute du lit et qu'il coure en caleçon taper sur la gueule de l'auteur...