AccueilMes livresAjouter des livres
Découvrir
LivresAuteursLecteursCritiquesCitationsListesQuizGroupesQuestionsPrix BabelioRencontresLe Carnet
Critiques de Brahim Metiba (23)
Classer par:   Titre   Date   Les plus appréciées


Je n'ai pas eu le temps de bavarder avec toi

Un trajet en bus banal et ennuyeux pour le lecteur, mais qui, pour l'auteur, semble avoir suffisamment d'intérêt pour mériter une publication.

Il s'offre ce petit voyage de Clichy à St-Michel (Paris) avec un ticket de métro que son père lui a laissé intentionnellement - mais pourquoi ?

Il décide que ça sera son cadeau d'anniversaire.

.

Un récit froid & factuel pour décrire brièvement, au fil du parcours, un lieu, une ou deux personnes et leur(s) action(s) à un instant T.

Ce style et le jugement sévère (ou l'indifférence/incompréhension affichée, c'est presque pire) à l'égard du père m'ont de plus en plus fait penser à Annie Ernaux. Ça m'a donc amusée de lire, page 40, que l'homme va finalement chez Gibert s'acheter un livre de cette auteure.

Tout ça pour ça.

Mais quelque chose de beaucoup plus 'profond' doit m'échapper, et j'avoue ne pas avoir envie de le saisir...

.

C'est dans le rayon 'Facile à lire' de notre médiathèque que j'ai trouvé ce livre de 53 pages très aérées. Les ouvrages proposés y sont variés, mais pas toujours bien choisis - la preuve.

Que signifie 'facile', si on a l'impression que l'auteur n'écrit que pour lui et une poignée d'intellos ?

Même très court et écrit avec des mots simples, un texte peut se révéler sans intérêt s'il laisse le lecteur perplexe et le fait douter de son niveau de compréhension (en langue française, par exemple).
Commenter  J’apprécie          203
Ma mère et moi

Ma mère et moi est un petit texte court qui raconte en vingt trois chapitres une tentative de dialogue entre l'auteur et sa mère. Il s'agit de scènes de vie qui nous font entrer dans l'intimité de ces deux êtres que tout semble séparer, sauf un amour profond et douloureux.

C'est un très beau texte, écrit à l'économie de mots, comme je les aime. Mais il s'en dégage une grande sensibilité et une grande émotion.

Commenter  J’apprécie          170
Je n'ai pas eu le temps de bavarder avec toi

"Je n'ai pas eu le temps de bavarder avec toi", tout part de ce petit mot laissé par le père du narrateur à son fils avant de rentrer à son pays L’ALGÉRIE.



Le narrateur choisit alors le jour de son anniversaire pour utiliser ce ticket.

C'est ainsi que le narrateur nous embarque avec lui, au bord du premier bus qui arrive, dans un aller simple d'une heure et demi (durée de validité du ticket) de Clichy-la-garenne vers le centre de Paris, pour ce qu'il a nommé "un parcours de bavardage" entre son père et lui même.



Un texte court (53 petites pages), mais émouvant qui décrit les relations compliquées aussi bien générationnelles (père/fils) que socio-culturelles ... Ce qui met en évidence le grand décalage entre le père et le fils, l’Algérie et la France et même entre Paris et sa banlieue.



Une lecture courte, touchante et très agréable, et qui m'a personnellement donné envie de lire son premier roman "Ma Mère et moi".







Commenter  J’apprécie          90
Ma mère et moi

Difficile communication entre une mère et son fils. L'amour les rassemble, mais ces mots d'amour ne sont jamais dit, et tant de choses les séparent : elle aimerait qu'il se marie avec une musulmane, qu'il ait une vie conforme à la culture dans laquelle elle l'a élevé, mais il est homosexuel. Il est intellectuel, mais elle ne sait pas lire. Ils parlent, mais ne se parlent pas, s'entendent mais ne s'écoutent pas. Un dialogue impossible entre eux deux : "Ma mère me dit"...."Je lui dis". Alors pour essayer de créer ce dialogue, et d'instaurer un début de communication, il lui lit "Le livre de ma mère" d'Albert Cohen, le livre d'un auteur juif lu à une femme musulmane : "Je me dis que ma mère pourrait trouver une phrase chez la mère d'Albert Cohen, et qu'elle comprendrait enfin".

Un roman qui s'étend sur une vingtaine de jours, des jours pendant lesquels la lecteur assiste à cet amour, à cette tentative et à cet échec.

"Je pense à la distance qui me sépare de ma mère. Je pense à la difficulté de changer de regard. Je me demande si ma mère en est capable. Je me demande si elle a le temps de le faire. Je me demande si j'ai le droit de lui demander de changer de regard. Je me demande si je ne perd pas mon temps, si mon projet peut aboutir."(P. 44)

Quand la mère prend la parole, c’est pour mieux dire qu’elle ne comprendra jamais rien à son fils. Fils qui parallèlement admet : "Je ne trouve pas de mots pour parler à ma mère. Les mots de son langage n’expriment pas ma vie. Les mots de mon langage n’entrent pas dans son système. Elle ne les comprend pas. Je décide d’aller au bout du "Livre de ma mère". Je me dis qu’il pourrait y avoir quelque chose, à la fin."

Un livre sur la difficulté de faire changer les autres mais aussi sur la difficulté de changer son regard. Chacun pense être sur la bonne voie, est persuadé de détenir LA vérité, et aucun n'est finalement vraiment ouvert au dialogue. Si le dialogue ne se fait pas c'est toujours la faute de l'autre! Air bien connu des conflits de génération, des conflits nés de différences de culture, de différences sexuelles, etc., conflits qui n'interdisent pas l'amour. A aucun moment le narrateur ne s'interroge sur son attitude.

Roman...oui, mais il y a tant de familles, tant de situations dans lesquelles cette communication est impossible, dans laquelle elle va jusqu'à la fracture définitive entre parents et enfants.

L'alternance répétitive des "Elle m'a dit" ..."je lui dit" donne une certaine lourdeur au livre, qui ne m'a pas permis de l'apprécier complètement


Lien : https://mesbelleslectures.co..
Commenter  J’apprécie          81
Je n'ai pas eu le temps de bavarder avec toi

Quel livre étrange !

Je n'ai pas à le classer heureusement. Je n'ai eu qu'à le lire... Et à l'apprécier.

Il y a peu de pages, une soixantaine. Il y a peu de mots, mais forts, emplis de douceur et de brutalité en même temps. Un cri muet qui explose dans un silence assourdissant... Oui, c'est ce que j'ai ressenti. Un impossible dialogue entre un père et son fils. Pourquoi les liens du sang ne permettent-ils pas toujours la communication ? Différence de génération, différence de culture, différence tout simplement...



Le père du narrateur, venu d'Algérie, pour lui rendre visite à Paris, laisse un mot sur la table de son appartement avant de repartir : " Je n'ai pas eu le temps de bavarder avec toi, je te laisse ce ticket de métro. Ton père."

Ce ticket, reçu comme un cadeau lui donnant le droit de bavarder avec son père pendant un temps donné, servira au fils à accomplir un voyage en bus. De Clichy au coeur de Paris, il mènera un dialogue intérieur avec son père, échange impossible mélangeant les souvenirs familiaux, les comportements des uns et des autres et les regards posés sur son pays d'adoption.



Une découverte étonnante et singulière pour laquelle je remercie les éditions du Mauconduit et Babélio. Brahim Metiba, un jeune auteur à suivre, sans aucun doute.


Lien : http://mes-petites-boites.ov..
Commenter  J’apprécie          80
Ma mère et moi

Ardente mélopée de l’incommunicabilité, malgré l’amour, l’effort et l’imagination.



Sur mon blog : http://charybde2.wordpress.com/2015/03/14/note-de-lecture-ma-mere-et-moi-brahim-metiba/


Lien : http://charybde2.wordpress.c..
Commenter  J’apprécie          60
Je n'ai pas eu le temps de bavarder avec toi

Ce petit livre est une déception pour moi. Je trouve qu'il n'apporte rien, qu'il est vide, et je n'ai pas trop compris le but de l'écriture de ce livre. Je l'ai lu lors de la masse critique Babelio.



L'écriture est musical, assez singulière, particulière... La lecture n'est pas désagréable mais elle n'apporte pas grand chose, ou alors un peu de sérénité, je ne sais pas.



L'auteur voyage seul en repensant à son père, il fait un voyage à travers Paris et nous fait une petite visite de la ville rapidement.



Lecture rapide (20 minutes) à travers les rues de Paris, vu par le personnage dans le bus, avec son ticket de métro représentant son père...
Lien : http://leslecturesdemaryline..
Commenter  J’apprécie          50
Je n'ai pas eu le temps de bavarder avec toi

Le père algérien du narrateur de ce roman est venu rendre visite à son fils installé en France. Il lui laisse en partant un petit mot : « Je n’ai pas eu le temps de bavarder avec toi, je te laisse ce ticket de métro ».



Après avoir tenté de comprendre ce que peut signifier cette phrase, il en déduit que ne pouvant utiliser ce ticket en Algérie, il le lui laisse pour en faire usage et ne pas le perdre. Ce ticket devient donc, dans l’esprit du narrateur une sorte de cadeau qu’il va mettre à profit pour « bavarder » dans le bus avec un père incompris et secret.

Promenade en bus qui comme chez Queneau va prendre l’aspect d’une sorte d’exercice, non de style mais de « mémoire ».

Alors commencent des réflexions sur la France vue avec les yeux d’un franco-algérien, sur ce père figé dans ses habitudes et qui ne parle que français bien que vivant en Algérie… Un bavardage porté par le regard de ce voyageur à la recherche de ses racines.



Un court récit de Brahim Metiba mais d’une grande densité, preuve qu’il n’est pas nécessaire d’écrire des milliers de pages pour faire passer l’essentiel de ses interrogations et de ses émotions.
Commenter  J’apprécie          40
Ma mère et moi

Metiba Brahim ma mère et moi



Ce « récit » s’étend sur 23 jours et retrace des « conversations » entre les deux personnages du titre.



En fait la communication par les mots échoue, et chacun se trouve dans une impasse ; « ma mère me dit », « je lui dis », monologues juxtaposés qui ne se rejoignent pas. Pourtant les personnages sont pleins d’amour l’un pour l’autre, mais bloqués dans leurs attitudes, surtout la mère, caractérisée par sa position physique, « les jambes droites, le dos droit ».



Elle est prisonnière de son analphabétisme et des conceptions esthétiques et morales figées dont elle a hérité. Elle souhaiterait le bonheur de son fils, mais dans une vie conformiste que ce dernier refuse. Est-elle dupe des non-dits de son fils ? Bien sûr que non…



Pour ce dernier, il s’agit de trouver des passerelles autres que la parole ordinaire, donc d’avoir recours à la lecture du livre d’Albert Cohen, « le livre de ma mère », susceptible d’ébranler des préjugés et des idées toutes faites, d‘ouvrir sur un autre monde et d‘autres conceptions…Le contact physique devient aussi un lien sentimental.



J’ai aimé dans ce livre les efforts pour échanger, les attentions constantes pour témoigner d’une affection indéfectible, du désir de faire plaisir.



L’amour surgit des attitudes et des comportements, des propositions toutes simples dans le quotidien, du silence entre les phrases de chacun, malgré les différences de génération, de cultures, et de choix de vie.



Pour le lecteur ce « récit » traduit le désir de faire sauter les barrières entre des mondes différents, et d’instaurer une compréhension sans reniements.

Commenter  J’apprécie          40
Ma mère et moi

Un livre court et dense à la fois, qui se lit vite mais dont les images pénètrent profondément en nous, lecteurs.

Cette discussion faite de silences et du poids des non-dits qui s'étire entre deux être qui s'aiment mais que finalement tout finit par opposer, l'auteur arrive à la rendre vivante et vibrante, d'un amour d'un fils pour sa mère et d'une mère pour son fils.



Un bel hommage à la tolérance.
Commenter  J’apprécie          30
Ma mère et moi

Si pour certains, les vacances se terminent, pour d'autres ,'l 'heure des vacances a sonné. Une question essentielle se pose pendant ce temps de repos.Que lire? On se précipite à la médiathèque. Je suis tombé tout à fait par hasard sur ce livre très court de 50 pages environ et j'ai tout de suite été séduit par la quatrième de couverture

Pour son premier roman, Brahim Metiba aborde un thème délicat les relations difficiles voire impossibles entre une mère et son fils que tout semble opposer , lui 37 ans né en Algérie, habite en France depuis 14 ans, elle, vit en Algérie.Lui est un intellectuel elle, elle ne sait pas lire ni écrire. Il est homosexuel , son souhait à elle c'est qu'il se marie avec une musulmane.Pour tenter de renouer les liens, ce fils s' appuie sur un livre "le livre de ma mère" de Albert Cohen. Voici la raison essentielle qui m'a poussé à me lancer dans la lecture de ce roman. Je dois avouer que je n'ai pas été déçu. L' auteur a réussi à aborder des sujets brûlants avec brio
Lien : http://www.babelio.com/monpr..
Commenter  J’apprécie          30
Ma mère et moi

Il sait si bien montrer la difficulté de communication avec un être que l'on aime. L'histoire qu'il raconte à sa mère est le miroir de la sienne. Une tentative pour communiquer avec elle.

J'ai vraiment adoré ce livre plein de sensibilité.
Commenter  J’apprécie          20
Ma mère et moi

Résumé:

Le narrateur comprend tout.

Sa mère ne sait ni lire ni écrire ergo elle ne comprend rien.

Le narrateur aimerait que sa mère arrête d'être sotte.



Sur la forme, le récit est répétitif. Très répétitif. Extrêmement répétitif. Il se donne un air poétique, mais comme le sujet n'est pas bien traité ça ne marche pas.



Sur le fond, le narrateur est un personnage orgueilleux avec une idéologie qui se mord la queue. Il souhaiterait que sa mère change mais ne conçoit pas de faire pareil. Il aimerait qu'elle laisse tomber son "vrai" car il considère que son "vrai" à lui, est le vrai "vrai". C'est comme dire "La phrase suivante est fausse. La phrase précédente est vraie" c'est en même temps paradoxale et sophistique.



La mère choisit le silence, car elle sait qu'elle ne veut pas s'ouvrir au dialogue et elle le dit: "Je suis vieille, je ne veux pas changer". Plus particulièrement elle sait que son fils non plus n'est pas vraiment ouvert au dialogue et n'a aucune envie de changer, non pas par vieillesse, mais car il est persuadé d'avoir raison. J'ai trouvé le choix de la mère sage & judicieux, et son caractère intéressant.



En somme, un livre ronflant & stérile.
Commenter  J’apprécie          21
Ma mère et moi

Forcément j'ai pensé à ma mère ! finalement , mais je le savais déjà, je n'ai jamais vraiment parlé avec elle de sujet vraiment profond. A la fin de sa vie j'arrivais à lui faire raconter des souvenirs et ça c'était vraiment très bien. Je pense ,qu'en effet entre la mère et ses enfants il n'y a pas de doute, l'amour est là, parfois il n'y a pas forcément besoin d'un échange verbal. Dans ce livre j'ai ressenti la frustration de ce fils qui aurait voulu parler beaucoup plus avec sa mère et au final il sait, il comprend, que sa mère sait l'essentiel et qu'il n'y a pas besoin que cela passe par des mots. Être ensemble est suffisant.
Commenter  J’apprécie          10
Ma mère et moi

Premier roman de Brahim Metiba, Ma mère et moi est un roman « autobiographique » sur sa relation complexe avec sa mère. L’amour est palpable entre ces deux êtres même si tant de choses les séparent.



Lui vit en France depuis 14 ans. C’est un intellectuel et un homosexuel. Sa famille est retournée vivre en Algérie, sa mère ne sait ni lire, ni écrire et elle aimerait qu’il se marie avec une femme de confession musulmane.



Malgré toutes leurs oppositions, le narrateur essayera de se rapprocher de sa mère. Pour cela, il décide de lui lire, jour après jour, Le livre de ma mère d’Albert Cohen, un roman qui rend hommage à sa mère décédée.



Il profite de la lecture de ce roman pour aborder avec sa mère de sujets divers, comme la religion, le mariage ou encore la culture où leurs avis divergent à chaque fois.



J’ai beaucoup aimé cette histoire au style épuré qui est une véritable déclaration d’amour pour sa mère.

En quittant son pays, le narrateur a changé, il s’est éloigné de sa culture natale pour s’imprégner de la culture française. Il essaye de secouer sa mère dans ses certitudes et dans sa pensée « étroite et figée ». De même, sa mère tente de modifier sa vision des choses afin qu’elle devienne conforme à la sienne.



Ce court texte qui s’étend sur une vingtaine de jours a fait écho à mon quotidien. En effet, je travaille dans une bibliothèque qui accueille un public multiethnique et je constate très souvent ce phénomène. Les adultes sont beaucoup plus attachés à leur culture et à leur tradition, contrairement aux enfants qui s’approprient pleinement les deux cultures pour mieux s’intégrer dans leur nouveau pays.


Lien : https://emerveillementcultur..
Commenter  J’apprécie          10
Je n'ai pas eu le temps de bavarder avec toi

Après la publication de son premier récit Ma mère et moi, l’auteur nous revient avec cette fois-ci un récit concernant le dialogue avec son père. Aussi court que le premier, il reste autant intense par ce besoin de se rapprocher de sa famille, de (re)nouer le dialogue, de trouver cette « faille » de l’autre pour enfin se (re)trouver.



J’ai eu du plaisir à lire ce court roman dans lequel j’ai pu retrouver cette plume fluide et touchante de Brahim Metiba. Merci à l’auteur pour ce moment rempli de tendresse qu’il nous offre.
Lien : https://www.bouquiner.ch/468..
Commenter  J’apprécie          10
Je n'ai pas eu le temps de bavarder avec toi

Intense dialogue solitaire du fils, au fil des bus, en l’absence du père, jouant de la futilité pour traquer les bribes d’un sens espéré.



Sur mon blog : http://charybde2.wordpress.com/2015/09/22/note-de-lecture-je-nai-pas-eu-le-temps-de-bavarder-avec-toi-brahim-metiba/


Lien : http://charybde2.wordpress.c..
Commenter  J’apprécie          10
Je n'ai pas eu le temps de bavarder avec toi

J’avais déjà vraiment apprécié le précédent livre de cet auteur. Celui là, je l’aime encore plus. Une traversée de Paris dans la tête d’un jeune qui se fait un monologue pour espérer un instant de bavardage avec son père qui n’est pas là. On a vraiment l’impression de rentrer dans cette relation entre ce père et son fils. J’ai très envie de lire son suivant.
Commenter  J’apprécie          00
Ma mère et moi

Un texte court plutôt simple quand on y pense mais qui arrive à être très touchant. On y comprend très bien la relation que le fils a avec sa mère même si les mots ne sont pas dit. L’amour au dessus de tout ce qui les séparent. Le besoin que chacun a de dire sa vérité. Une jolie lecture.
Commenter  J’apprécie          00
La voix de Papageno

Trop de thèmes abordés dans ce petit conte fantasmagorique .
Commenter  J’apprécie          00




Acheter les livres de cet auteur sur
Fnac
Amazon
Decitre
Cultura
Rakuten

Lecteurs de Brahim Metiba (86)Voir plus

Quiz Voir plus

Harry Potter 6 - pour les vrais

Qui envoie une beuglante à Pétunia, la tante de Harry?

Molly Weasley
Minerva Mc Gonagall
Albus Dumbledore
Alastor Maugrey

10 questions
76 lecteurs ont répondu
Thème : Harry Potter, tome 6 : Harry Potter et le prince de sang mêlé de J. K. RowlingCréer un quiz sur cet auteur

{* *}