Mais sa raison de vivre ne vint qu'après : ses fossettes. Elles plongeaient dans ses joues comme un doigt dans la pâte des biscuits que Sarah adorait faire pour lui : farine, lard et babeurre dans un grand saladier, et ses doigts pour mélanger le tout. Elle imagina alors ses doigts plonger dans le creux de sa fossette comme une cuillère dans le gruau de maïs.