Brittainy C. Cherry

Je me rends compte que le temps qui passe ne rend pas les choses plus faciles. Par moments, la douleur se fait plus silencieuse, mais c'est tout.

Et pourtant, parfois je me demandais ce qui était pire, savoir que la mort est là au coin de la rue et se traîner vers elle un peu plus chaque jour ou bien être complètement pris au dépourvu.

- […] Je veux être vraie. Je veux une vie imparfaite. Je veux être imparfaite avec toi.

- […] Qui t’a dit que les personnes souffrant de dépression n’avaient pas le droit à l’amour ?

- […] Je n'attends pas de toi que tu sois parfaite. Je veux que tu sois vraie. Je veux que tu vives. Que tu tombes amoureuse et que tu vives. Que tu te plantes et que tu vives. Que tu te trouves, Star, et que tu vives.

Parce que même s’il est véritable, l’amour ne peut jamais gagner contre la mort.

- Je me rends compte que c'est toi, murmurai-je.
- Que c'est moi, quoi ?
- Ce quelque chose qui fait que je vais mieux, même les jours les plus mauvais.

- C'est toi qui me consoles alors que cela devrait être le contraire.
- Mais tu me consoles.
- Comment ?
- Par le simple fait que tu existes.

- Starlet... il y a une chose que tu dois comprendre. Avant de te connaître, je traversais l'hiver le plus froid de ma vie comme un somnambule. Et tu es arrivée et tu m'as sauvé. Alors, crois-moi lorsque je te dis que je peux attendre jusqu'au printemps pour te retrouver. Je peux attendre jusqu'au printemps pour te faire mienne.

- Je peux te confier un secret ?
- Oui, dit-elle doucement, son souffle chaud frôlant ma peau.
- Tu me manques déjà, alors que tu es encore là.
Elle se serra un peu plus contre moi et posa la tête sur ma poitrine.
- Je peux te dire un secret ?
- Oui.
- Tu me manquais avant même d'avoir connaissance de ton existence.

- C'est ça que je veux, dit-il entre deux baisers. C'est toi que je veux, Star, jura-t-il en m'embrassant de nouveau.

Je n'avais contacté aucune des personnes que je connaissais dans le but de se rouler dans les draps pour m'aider à oublier ma vie. Au lieu de ça, j'étais vivant et non plus ce mort vivant que j'avais été depuis plusieurs années.

On dit qu’on ne peut pas identifier le moment exact où on commence à tomber amoureux, mais moi si. C’était dans la salle de travail de la bibliothèque municipale par un froid après-midi d’hiver.

Milo- P. 244

C'est le problème de l'amour, en fait ; on ne peut pas le faire disparaître simplement parce que ce n'est pas réciproque.

Elle était la chaleur des nuits d’été opposée à la froidure de mes journées d’hiver. Elle était faite pour moi.

Elle était le deuxième acte de ma pièce après l’entracte dans lequel j’étais coincé depuis ce qui me semblait être une éternité.

« - Je me rends compte que c’est toi.
- Que c’est moi, quoi ?
- Ce quelque chose qui fait que je vais mieux, même les jours les plus mauvais. »

Un jour je t’aimerai au grand jour et ce sera le plus beau jour de ma vie.

Avant de te connaître, je traversais l’hiver le plus froid de ma vie comme un somnambule. Et tu es arrivée et tu m’as sauvé.

« - Je peux te dire un secret ?
- Oui.
- Tu me manquais avant même d’avoir connaissance de ton existence. »