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Citations de Bryan James (26)


A ma femme et à mon fils.
Quand l'apocalypse viendra,
je vous garderai une place dans la voiture.
Sauf si vous êtes des zombies, auquel cas
ce serait complètement stupide.
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Le monde paraissait plus vide. Plus silencieux, plus calme, et ça sentait même un peu meilleur qu'avant... Enfin, si on se trouvait à plus d'un kilomètre de zombies putréfiés à l'hygiène douteuse.
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Surpris, je relevais brusquement la tête. Quelque chose se déplaçait de l'autre côté de la porte, dans le couloir. Je m'imaginai, manquant de me déboîter l'épaule en me tapant dans le dos pour me féliciter d'avoir verrouillé les portes.
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Les camps de vacances (…)
Comprenez-moi bien : une fois que vous y êtes, c'est super. Vous êtes dehors, vous rencontrez d'autres gens, vous participez à des jeux. Vous pouvez même apprendre des trucs. J'ai appris à manger de la nourriture dégueulasse parce que j'avais faim, à dormir malgré des ronflements incroyablement bruyants et désagréables, et même à embrasser une fille ; autant de chose qui m'ont préparé à la vraie vie, particulièrement au mariage.
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Si les événements des dernières semaines nous avaient appris quelque chose, c'était bien que la mort n'était pas la fin, et que la vie était devenue un concept très relatif.
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Dans mes films, je trouvais toujours un lance-grenades, un pistolet géant ou un tank portable au dernier moment – également le plus commode et le plus opportun. Comme pendant un dîner romantique ou aux chiottes. Pas de chance aujourd'hui : si je voulais de l'aide, il fallait que je l'ajoute moi-même au script.
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Désormais l’écœurante panse déformée de la goule qui avait dévoré, durant plusieurs semaines, un humain tout entier, saillait davantage que les faux seins siliconés qui pointaient toujours sous son tee-shirt souillé.
Une bonne publicité, quoique un peu étrange, pour les implants mammaires. « Faites-vous opérer dès maintenant, et votre poitrine survivra à l'apocalypse zombie, même si vous y passez ! »
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On n'avait pas d'autre choix. C'était soit une brique dans la vitre et prendre le risque de devoir se barricader, soit rester là dehors, se mettre en costume d'Adam, s'enduire de beurre et s'allonger sur un des barbecues en promo.
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Je commence à me sentir un petit peu le dernier homard dans l'aquarium fit Kate (…)
C'est à dire ? Convoitée ? Plaisantai-je (…)
J'ai plutôt l'impression d'être coincée dans une cage de verre avec mes pinces fermées par des élastiques à attendre que le premier chauve d'âge mûr venu, avec un pantalon triple XL et 19.99 dollars dans la poche, m'arrache le cul, lâcha-t-elle amèrement....
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Même si on parvenait à fabriquer un remède et à le diffuser, à tuer toutes les personnes déjà infectées et à se réunir au sein d'une sorte de société unifiée... ça repartirait de plus belle. Les partis politiques. Les infos sur le câble. Les putains de procès de stars. La pollution. La haine. L'intolérance.
Autant de marques de la condition humaine. Autant d'attributs et d'aspects de notre façon de vivre. Ce n'était pas une horde de zombies affamés qui allait changer ça.
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J'étais perturbé.
Je sais que nous autres, de la trempe des héros, ne sommes pas censés révéler ce type d'informations, mais je n'avais pas la moindre idée de ce qui se passait, ni de la manière dont je m'étais retrouvé ici.
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Mais les créatures continuaient à avancer.
J'étais un fermier et la mitrailleuse était ma faux.
J'était un chevalier, un laboureur, un moissonneur.
J'étais la mort subite, le silence suprême.
Mais les créatures continuaient à avancer.
J'étais seul et elles étaient légion.
Et elles continuaient à avancer.
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Fou de voir comme les attitudes antipathiques revenaient avec tant de facilité, même maintenant. Exactement comme faire du vélo: une fois qu'on avait appris à se comporter comme un connard, on n'oubliait jamais.
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Je fronçai les sourcils, mais après y avoir réfléchi davantage, j'acceptai à contrecoeur. Les bonnes décisions n'étaient plus de ce monde. Il n'y avait plus qu'un assortiment de plats de merde sur un buffet pourri.
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- Et un bon petit déjeuner, c'était quoi ?
- Du pain grillé à la cannelle.
Elle se tut pendant quelques instants.
- Tu as quel âge ? Dix ans ?
J'étais vexé. J'avais un penchant enfantin pour les sucreries du matin. Ca ne me rendait pas puéril pour autant. Ca me rendait plutôt adorable.
Ce que j'expliquai à Kate.
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Un grognement sourd s'échappa de la gorge de Kate et la machette tournoya dans sa main, séparant la tête du corps au niveau de la clavicule. Tandis que la morte-vivante s'écroulait en faisant crisser le gravier, Kate la saisit par les lambeaux de sa chemise, la releva et plongea la lame dans sa poitrine avant de remonter, fendant jusqu'en haut les chairs putréfiées.
Le torse gras s'ouvrit entre deux gros seins flasques et du sang coagulé tomba de la cavité comme du vieux lait caillé, s'écrasant sur le sol en épaisses gouttelettes.
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Tout ce que je demandais, c'était un moyen de transport. Au point où on en était, je me fichais de savoir avec qui. J'aurais volontiers chevauché nu un porc-épic en furie en étant atteint d'une mycose génitale et d'une rage de dents, si ça m'avait permis de rejoindre Seattle.
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À ma femme et à mon fils.
Quand l’apocalypse viendra, je vous garderai une place dans la voiture.
Sauf si vous êtes des zombies, auquel cas ce serait complètement stupide.
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D'habitude, j'étais réveillé en douceur, affectueusement, par un infirmier ressemblant à Conan le barbare, qui me serrait avec tendresse contre lui tandis qu'il me faisait ingurgiter de force un petit déjeuner complet constitué d'eau et de neuroleptiques. Ceux qui considèrent le pain et l'eau comme un repas digne d'une prison n'ont manifestement jamais suivi ce régime.
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Il y a un moment,dans la vie de chacun,où l'on se rend compte que son heure est venue. Que dans le grand jeu qui oppose l'humain au monde, le Bien au Mal,les morts aux vivants...on s'est définitivement fait niquer. Là, impuissant, suspendu au pont d'un navire en perdition, entouré de gens décédés dont le but était de me bouffer... Et bien, disons simplement que je commençais à formuler des hypothèses réalistes sur mon avenir proche.
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