"L'établissement ne possède aucun des équipements de pointe en imagerie médicale qui rapporteraient de l'argent, car leur utilisation n'est pas prise en charge par l'assurance maladie; les médecins délivrent donc des recommandations aux patients dont la maladie est plus avancée et les dirigent vers l'hôpital. C'est comme ça, la privatisation du système de santé a discrètement commencé depuis quelque temps, et les cliniques de quartier ne servent qu'aux urgences nocturnes, rien de plus."
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